Devant les caméras de BFM TV, Agnès Buzyn a évoqué la journée de solidarité active mise en place lundi de Pentecôte par Jean-Pierre Raffarin. Durant cette journée, normalement fériée, les salariés sont censés travailler pour financer la dépendance. « On pourrait imaginer avoir deux lundis de Pentecôte travaillés », a proposé la ministre de la Santé, avant de se raviser : « Je n'ai pas envie de donner mon opinion ». Agnès Buzyn sait certainement que la question suscite le débat, qu'elle souhaite avoir les élus. Une solution sera proposée « d'ici la fin de l'année ».
D'autres pistes sont envisageables, comme les assurances privées. « Il y a aujourd’hui des gens qui ont envie de vendre ce type de modèle », a expliqué Agnès Buzyn qui se dit toutefois « pas trop favorable au modèle assurantiel ». L'assurance maladie pourrait aussi être mise à profit : une des solutions pourraient être de « mélanger la partie dépendance et la partie soins dans une seule enveloppe ». Actuellement, ces « enveloppes » sont séparées et elles sont financées par les départements pour ce qui touche à la dépendance, et à la Sécurité sociale pour la partie soins.
Par ailleurs, en ce qui concerne le dossier des établissements pour les personnes âgées dépendantes, les Ehpad, la ministre de la Santé a indiqué qu'une solution était en passe d'être trouvée « pour qu’il n’y ait aucun Ehpad perdant avec la nouvelle tarification ». La réforme de la tarification pose en effet un « problème aigu », en particulier pour les départements : « Pendant deux ans, nous allons neutraliser les effets de la réforme, ce qui nous laisse le temps de réfléchir à l’avenir », a-t-elle précisé.
D'autres pistes sont envisageables, comme les assurances privées. « Il y a aujourd’hui des gens qui ont envie de vendre ce type de modèle », a expliqué Agnès Buzyn qui se dit toutefois « pas trop favorable au modèle assurantiel ». L'assurance maladie pourrait aussi être mise à profit : une des solutions pourraient être de « mélanger la partie dépendance et la partie soins dans une seule enveloppe ». Actuellement, ces « enveloppes » sont séparées et elles sont financées par les départements pour ce qui touche à la dépendance, et à la Sécurité sociale pour la partie soins.
Par ailleurs, en ce qui concerne le dossier des établissements pour les personnes âgées dépendantes, les Ehpad, la ministre de la Santé a indiqué qu'une solution était en passe d'être trouvée « pour qu’il n’y ait aucun Ehpad perdant avec la nouvelle tarification ». La réforme de la tarification pose en effet un « problème aigu », en particulier pour les départements : « Pendant deux ans, nous allons neutraliser les effets de la réforme, ce qui nous laisse le temps de réfléchir à l’avenir », a-t-elle précisé.