Ce fonds de soutien à l’emploi a été annoncé en 2014, mais sa mise en place a pris beaucoup de temps. Ce sera chose faite avec ce financement de 90 millions d’euros. Le gouvernement cherche à favoriser la création de CDI dans un secteur où les contrats courts sont la norme. Désormais, la balle est dans le camp d’un comité d’experts qui procèderont au chiffrage précis de l’impact financier de l’accord.
Ces 90 millions ne sont pas destinés à compenser les 185 millions d’économies exigées par l’assurance chômage, a cependant tenu à préciser les services du Premier ministre. Ces économies doivent être réalisées d’ici 2018 ; la question d’une compensation à hauteur de 80 millions reste donc en suspens, d’où le pilotage de ce comité d’experts.
L’accord conclu ce jeudi 28 avril comprend d’autres mesures de soutien aux intermittents du spectacle, qui rencontrent l’aval de la CGT Spectacle, le syndicat majoritaire dans le secteur. Malgré tout, les occupations de théâtres risquent de se poursuivre, l’organisation syndicale voulant maintenir la pression jusqu’à la signature officielle de l’accord. Au grand dam d’Audrey Azoulay, la ministre de la Culture, qui a appelé les intermittents à rendre les salles au public.
Ces 90 millions ne sont pas destinés à compenser les 185 millions d’économies exigées par l’assurance chômage, a cependant tenu à préciser les services du Premier ministre. Ces économies doivent être réalisées d’ici 2018 ; la question d’une compensation à hauteur de 80 millions reste donc en suspens, d’où le pilotage de ce comité d’experts.
L’accord conclu ce jeudi 28 avril comprend d’autres mesures de soutien aux intermittents du spectacle, qui rencontrent l’aval de la CGT Spectacle, le syndicat majoritaire dans le secteur. Malgré tout, les occupations de théâtres risquent de se poursuivre, l’organisation syndicale voulant maintenir la pression jusqu’à la signature officielle de l’accord. Au grand dam d’Audrey Azoulay, la ministre de la Culture, qui a appelé les intermittents à rendre les salles au public.