Ce retour au nom d’origine de l’entreprise avait été promis par Bruno Le Maire en 2017. Promesse tenue donc, l’assemblée générale du groupe a voté en faveur de ce changement de patronyme ce mardi. Un retour aux sources, puisque ce nom est le fruit du rapprochement entre les Ateliers et chantiers de la Loire et l’entreprise des Chantiers de Penhoët, en 1955. C’est en 2006 que les chantiers perdent leur nom, suite à la cession de l’entreprise, détenue alors par Alstom, au groupe norvégien Aker Yards.
Les « nouveaux » Chantiers de l’Atlantique sont désormais détenus par l’État français à hauteur de 84,3%. Les salariés disposeront de 2,4% du capital de leur entreprise. Cette position des pouvoirs publics n’est que temporaire, puisque les chantiers vont passer entre les mains de Fincantieri, dès que l’industriel italien aura reçu toutes les autorisations nécessaires. Ce sont les autorités de la concurrence européennes qui donneront leur aval, d’ici la fin de cette année ou au début 2019.
Ensuite, l’État possédera une position minoritaire et Fincantieri 51%... dont 1% « prêté » par les pouvoirs publics français, en vertu de l’accord signé en septembre dernier entre la France et l’Italie. Pour conserver la main sur les Chantiers de l’Atlantique, le nouveau propriétaire devra montrer patte blanche. Les Chantiers, qui font travailler 8 000 personnes, bénéficie d’un carnet de commandes plein pour plusieurs années.
Les « nouveaux » Chantiers de l’Atlantique sont désormais détenus par l’État français à hauteur de 84,3%. Les salariés disposeront de 2,4% du capital de leur entreprise. Cette position des pouvoirs publics n’est que temporaire, puisque les chantiers vont passer entre les mains de Fincantieri, dès que l’industriel italien aura reçu toutes les autorisations nécessaires. Ce sont les autorités de la concurrence européennes qui donneront leur aval, d’ici la fin de cette année ou au début 2019.
Ensuite, l’État possédera une position minoritaire et Fincantieri 51%... dont 1% « prêté » par les pouvoirs publics français, en vertu de l’accord signé en septembre dernier entre la France et l’Italie. Pour conserver la main sur les Chantiers de l’Atlantique, le nouveau propriétaire devra montrer patte blanche. Les Chantiers, qui font travailler 8 000 personnes, bénéficie d’un carnet de commandes plein pour plusieurs années.