Rares sont les entreprises françaises qui peuvent encore se permettre de fonctionner en ne vendant leur produit que sur le territoire national et dans les pays avoisinants. L’ouverture des marchés permet aujourd’hui une concurrence mondiale qui impose aux entreprises de se lancer à l’international pour tenir la distance. Dans ce contexte, la fonction logistique est amenée à prendre structurellement de l’importance, et ce même au sein des PME.
Acheminer une marchandise jusqu’à une destination qui peut se trouver à l’autre bout de la planète est en effet devenu une question centrale ; le choix du moyen de transport retenu pouvant bien évidemment avoir des répercussions cruciales sur les délais, le prix de vente proposée et donc sur la qualité générale de la prestation commerciale.
En matière de transport intercontinental, les transports aérien et maritime constituent les deux solutions de référence. En fonction du cahier des charges de l’exportateur, l’une ou l’autre de ces solutions peut être préférée pour ses caractéristiques distinctives. Le transport maritime est par exemple bien moins onéreux que le transport aérien ; un avantage particulièrement intéressant pour l’exportateur européen dont les coûts de production comptent généralement parmi les plus élevés de la planète. Le transport aérien est en revanche plus rapide. Il peut donc se trouver indiqué si la nature des produits à acheminer ou les termes d’un contrat requièrent des délais étroits.
L’organisation d’un transport de marchandises est toutefois soumise à certaines contraintes, de nature administrative notamment. Une mauvaise connaissance de l’offre de transport et des procédures associées conduisent ainsi bon nombre d’entreprises et notamment les PME à sous-traiter leur fonction de transport et de livraison. L’organisation d’un transit de marchandise par voie maritime impose ainsi à l’entreprise de s’acquitter, auprès de multiples instances administratives, de formalités douanières qui peuvent être nombreuses selon le type de marchandise, ou la destination considérée.
Dans un contexte économique globalisé et fortement concurrentiel, exporter devient une question de survie. Cela pose naturellement la question des transports et d’une organisation logistique capable de soutenir l’activité de l’entreprise d’un bout à l’autre de la planète. La détermination du mode de transport le plus avantageux, aérien ou maritime, repose toujours sur un cahier des charges fixé par l’entreprise : quel est le type de marchandise ? Quels sont les délais ? Quelle est la destination envisagée ? Déterminer des critères doit permettre à l’entreprise d’effectuer un choix optimal. Pour des raisons à la fois techniques et pratiques toutefois, rares sont les entreprises qui choisissent d’organiser elles-mêmes le transport de leur marchandise. Les PME apprécient ainsi tout particulièrement l’aide d’un commissionnaire de transport pour assister la conception d’une démarche logistique. Membre d’une profession réglementée, le commissionnaire est en effet qualifié pour conseiller l’entreprise sur le choix d’une prestation de transport et l’organiser pour lui. Sa connaissance de l’offre, ainsi que des contraintes administratives qui pèsent sur le transport international de marchandise font de l’interlocuteur privilégier des entreprises soucieuses de structurer leur réseau de distribution international.
Acheminer une marchandise jusqu’à une destination qui peut se trouver à l’autre bout de la planète est en effet devenu une question centrale ; le choix du moyen de transport retenu pouvant bien évidemment avoir des répercussions cruciales sur les délais, le prix de vente proposée et donc sur la qualité générale de la prestation commerciale.
En matière de transport intercontinental, les transports aérien et maritime constituent les deux solutions de référence. En fonction du cahier des charges de l’exportateur, l’une ou l’autre de ces solutions peut être préférée pour ses caractéristiques distinctives. Le transport maritime est par exemple bien moins onéreux que le transport aérien ; un avantage particulièrement intéressant pour l’exportateur européen dont les coûts de production comptent généralement parmi les plus élevés de la planète. Le transport aérien est en revanche plus rapide. Il peut donc se trouver indiqué si la nature des produits à acheminer ou les termes d’un contrat requièrent des délais étroits.
L’organisation d’un transport de marchandises est toutefois soumise à certaines contraintes, de nature administrative notamment. Une mauvaise connaissance de l’offre de transport et des procédures associées conduisent ainsi bon nombre d’entreprises et notamment les PME à sous-traiter leur fonction de transport et de livraison. L’organisation d’un transit de marchandise par voie maritime impose ainsi à l’entreprise de s’acquitter, auprès de multiples instances administratives, de formalités douanières qui peuvent être nombreuses selon le type de marchandise, ou la destination considérée.
Dans un contexte économique globalisé et fortement concurrentiel, exporter devient une question de survie. Cela pose naturellement la question des transports et d’une organisation logistique capable de soutenir l’activité de l’entreprise d’un bout à l’autre de la planète. La détermination du mode de transport le plus avantageux, aérien ou maritime, repose toujours sur un cahier des charges fixé par l’entreprise : quel est le type de marchandise ? Quels sont les délais ? Quelle est la destination envisagée ? Déterminer des critères doit permettre à l’entreprise d’effectuer un choix optimal. Pour des raisons à la fois techniques et pratiques toutefois, rares sont les entreprises qui choisissent d’organiser elles-mêmes le transport de leur marchandise. Les PME apprécient ainsi tout particulièrement l’aide d’un commissionnaire de transport pour assister la conception d’une démarche logistique. Membre d’une profession réglementée, le commissionnaire est en effet qualifié pour conseiller l’entreprise sur le choix d’une prestation de transport et l’organiser pour lui. Sa connaissance de l’offre, ainsi que des contraintes administratives qui pèsent sur le transport international de marchandise font de l’interlocuteur privilégier des entreprises soucieuses de structurer leur réseau de distribution international.