L'étude repose sur 300 directeurs généraux et managers chargés du recrutement dans leurs entreprises. 47% d'entre eux sont tombés sur des curriculum vitae mensongers… Il ne s'agit pas forcément de tromper l'employeur, mais d'aménager la vérité afin de franchir les barrières du recruteur. Dans 55% des cas, le candidat a enjolivé son expérience professionnelle, avec des descriptions qui ne correspondent pas forcément à la réalité de la tâche.
Autre mensonge « classique », dans 53% des cas de CV falsifiés, les candidats font apparaitre un centre de formation de prestige histoire d'attirer l'œil du recruteur. Ou bien ils font apparaitre un cursus parfaitement adapté à l'emploi, mais il arrive parfois que la réalité du cursus en question soit beaucoup plus modeste, comme des cours en audition libre par exemple. Dans 20% des CV mensongers, le candidat a « inventé » une première expérience (un stage, par exemple).
Il arrive aussi que les candidats enjolivent leurs compétences techniques (dans 39% des cas), qui s'adaptent aux exigences du poste visé. La gestion de projet ou encore les capacités en matière de leadership sont exagérés dans respectivement 12% et 16% des CV mensongers. Les prétendants à un poste surestiment également la maîtrise d'une langue (33%), mais gare : il est facile pour un employeur de vérifier si telle ou telle langue est réellement maîtrisée par un candidat…
Autre mensonge « classique », dans 53% des cas de CV falsifiés, les candidats font apparaitre un centre de formation de prestige histoire d'attirer l'œil du recruteur. Ou bien ils font apparaitre un cursus parfaitement adapté à l'emploi, mais il arrive parfois que la réalité du cursus en question soit beaucoup plus modeste, comme des cours en audition libre par exemple. Dans 20% des CV mensongers, le candidat a « inventé » une première expérience (un stage, par exemple).
Il arrive aussi que les candidats enjolivent leurs compétences techniques (dans 39% des cas), qui s'adaptent aux exigences du poste visé. La gestion de projet ou encore les capacités en matière de leadership sont exagérés dans respectivement 12% et 16% des CV mensongers. Les prétendants à un poste surestiment également la maîtrise d'une langue (33%), mais gare : il est facile pour un employeur de vérifier si telle ou telle langue est réellement maîtrisée par un candidat…