La lutte contre le réchauffement climatique ne passe pas seulement par les grandes décisions mais également par les petites. Par exemple par l’incitation pour l’employé d’aller au travail non pas en voiture mais en vélo. C’est bon pour la santé, c’est écologique et, en plus, ça rapporte. Forcément, car on y met tout de même plus de temps.

Le baromètre CSP Formation concernant la qualité de vie et la santé au travail montre une nette amélioration de la prise en compte des soucis de santé des employés chez les entreprises françaises. Les employeurs ses soucient de plus en plus de la santé de leurs employés, notamment au niveau de la question du stress lié aux tâches qu’ils leur confient.

Si la parcellisation des tâches prêchée par Taylor a longtemps été la norme en matière de (non-) management, elle n’est souvent plus adaptée aux entreprises, ni à la société. La tendance du...

La fête des voisins, cela concerne aussi bien les voisins de palier que ceux au bureau.

Dans le monde du travail, les salariés français sont face à un paradoxe de taille qui nuit légèrement à leur boulot. Car s’ils aiment aller au travail et travailler, contrairement à une idée reçue qui a la vie dure, ils restent toutefois frustrés et, du coup, le moral n’est pas au beau fixe. Or, on le sait, un employé heureux travaillent beaucoup mieux, raison pour laquelle nombre d’entreprises, notamment des start-ups, font tout pour garder haut le moral de leurs salariés.

La possibilité de travailler de chez soi avec les outils dématérialisés qui se répandent de plus en plus dans le monde a un effet pervers dont l’inquiétude est grandissante : les salariés peuvent facilement être contactés en dehors des horaires de bureau, entraînant un rallongement de leur temps de travail non désiré et, surtout, rarement payé. Ce n’est donc pas étonnant que certaines grandes entreprises comme BMW ont déjà pris les devants du problème instaurant une règle fixe entre employeur et employés.

L’information peut faire sourire les plus technologiques et faire peur aux plus traditionnalistes, mais les faits sont là. Un algorithme siège désormais au conseil d’administration d’un fonds d’investissement dans ce qui pourrait bien être un premier pas vers quelque chose de courant dans les années à venir.