Cette étude marque pour la troisième fois une croissance du taux d'emploi des diplômés des grandes écoles. Du jamais vu depuis la crise financière en 2008, souligne la CGE. Dans le détail, ils sont près de 9 diplômés de 2016 sur 10 (86,5% exactement) à avoir trouvé un emploi dans les six mois suivant l'obtention de leur précieux sésame. C'est mine de rien 3,4 points de plus que l'année précédente. Plus on avance dans les années, plus le taux d'emploi est important ; ainsi, la promotion 2015 jouit d'un taux d'emploi de 94%, celle de 2014 d'un pourcentage de 96,5%.
Du plein emploi ou quasi, se réjouit encore la Conférence. Près de 8 diplômés de 2016 sur 10 ont obtenu un contrat à durée indéterminée. Un chiffre en progression de deux points par rapport à 2015. En ce qui concerne les contrats « cadre », leur part reste stable d'une année sur l'autre à 85,2% tout de même. Nouveauté de l'enquête 2017 : les PME sont désormais les premiers employeurs de ces jeunes diplômés, puisqu'elles représentent 31,7% des embauches.
Les grands groupes suivent avec 31,3% des embauches, puis les entreprises de taille intermédiaire avec 28,9%. Le gros point noir de cette enquête annuelle demeure les importantes disparités entre les hommes et les femmes. Les salaires de ces dernières sont de 2 000 euros bruts inférieurs à ceux des hommes. Et quand 83,4% des diplômés masculins sont embauchés en CDI, elles ne sont que 72,5% à profiter de ce statut.
Du plein emploi ou quasi, se réjouit encore la Conférence. Près de 8 diplômés de 2016 sur 10 ont obtenu un contrat à durée indéterminée. Un chiffre en progression de deux points par rapport à 2015. En ce qui concerne les contrats « cadre », leur part reste stable d'une année sur l'autre à 85,2% tout de même. Nouveauté de l'enquête 2017 : les PME sont désormais les premiers employeurs de ces jeunes diplômés, puisqu'elles représentent 31,7% des embauches.
Les grands groupes suivent avec 31,3% des embauches, puis les entreprises de taille intermédiaire avec 28,9%. Le gros point noir de cette enquête annuelle demeure les importantes disparités entre les hommes et les femmes. Les salaires de ces dernières sont de 2 000 euros bruts inférieurs à ceux des hommes. Et quand 83,4% des diplômés masculins sont embauchés en CDI, elles ne sont que 72,5% à profiter de ce statut.