Cette étude annuelle sur la santé et la qualité de vie au travail, la dixième du genre menée par le groupe de protection sociale Malakoff Mérédic, relève une baisse du nombre de salariés jugeant leur travail « physiquement fatigant » : depuis 2009, ce taux a baissé de 6 points à 48%. Les salariés sont aussi moins nombreux à effectuer des gestes répétitifs (-7 points, à 32%). 68% d'entre eux jugent leur travail « nerveusement fatigant », un taux en recul de 4 points.
Les risques se réduisent grâce aux changements technologiques et économiques, soulignent les auteurs de l'étude. 73% des salariés se disent « plus confiants » dans leur situation professionnelle (un chiffre en hausse de 9 points en dix ans). Malgré tout, tout n'est pas rose évidemment dans le monde du travail, puisque 35% des salariés font part de difficulté pour concilier vie personnelle et vie professionnelle (+8 points). Il arrive à plus de la moitié des cadres (51%, +10 points en cinq ans) de consulter leurs e-mails professionnels en dehors du travail.
Pour parvenir à équilibrer leurs deux « vies », 46% des salariés aimeraient des horaires de travail « plus souples ». 28% évoquent une baisse du temps de travail, 24% le télétravail, et 22% voudraient des objectifs en lien avec les ressources dont ils disposent. Par ailleurs, 76% réclament plus d'autonomie (+10 points) et 42% aimeraient plus de reconnaissance.
Les risques se réduisent grâce aux changements technologiques et économiques, soulignent les auteurs de l'étude. 73% des salariés se disent « plus confiants » dans leur situation professionnelle (un chiffre en hausse de 9 points en dix ans). Malgré tout, tout n'est pas rose évidemment dans le monde du travail, puisque 35% des salariés font part de difficulté pour concilier vie personnelle et vie professionnelle (+8 points). Il arrive à plus de la moitié des cadres (51%, +10 points en cinq ans) de consulter leurs e-mails professionnels en dehors du travail.
Pour parvenir à équilibrer leurs deux « vies », 46% des salariés aimeraient des horaires de travail « plus souples ». 28% évoquent une baisse du temps de travail, 24% le télétravail, et 22% voudraient des objectifs en lien avec les ressources dont ils disposent. Par ailleurs, 76% réclament plus d'autonomie (+10 points) et 42% aimeraient plus de reconnaissance.