Le groupe LDC a présenté des résultats annuels très encourageants. Le spécialiste français de la volaille a engrangé un chiffre d'affaires pour son exercice 2017 (clos fin février 2018) de 3,83 milliards d'euros — un chiffre en hausse de 5,4%. La marge est de 4,8%, quasiment stable par rapport au précédent exercice (-0,1 point). Le résultat opérationnel est de 184,7 millions d'euros, et la trésorerie s'établissait en février à 201 millions. Suffisamment donc pour envisager des acquisitions pour soutenir la croissance du groupe.
LDC s'est emparé d'une partie de Doux, pour lequel le groupe va consacrer 60 millions d'euros pour mettre à niveau les sites de Châteaulin et de Quimper. Un investissement sur les trois prochaines années. Ça n'est pas tout : le mois dernier, LDC annonçait aussi l'acquisition de l'entreprise Marcel Favreau (découpe et abattage de canard), qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 21 millions d'euros. Il y a également des discussions en cours pour acheter Le Marais, qui engrange des revenus à hauteur de 50 millions par an.
LDC montre aussi des appétits d'investissements à l'étranger. L'entreprise est déjà présente en Pologne, elle lorgne cette fois sur la Hongrie avec l'acquisition de Tranzit, un gros morceau avec 108 millions de chiffre d'affaires et 1 400 salariés. LDC entend bien faire fructifier très vite ce nouvel achat, avec un objectif de ventes en Hongrie de 130 millions d'euros. Pas de quoi faire peur à l'entreprise, qui a bénéficié d'une forte hausse de ses revenus dans tous les secteurs, et en particulier à l'international avec une progression de 13,2% de ses ventes.
LDC s'est emparé d'une partie de Doux, pour lequel le groupe va consacrer 60 millions d'euros pour mettre à niveau les sites de Châteaulin et de Quimper. Un investissement sur les trois prochaines années. Ça n'est pas tout : le mois dernier, LDC annonçait aussi l'acquisition de l'entreprise Marcel Favreau (découpe et abattage de canard), qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 21 millions d'euros. Il y a également des discussions en cours pour acheter Le Marais, qui engrange des revenus à hauteur de 50 millions par an.
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