Foodora a annoncé son retrait de plusieurs pays, à commencer par l'Australie dès le 20 août. L'entreprise va également quitter la France, l'Italie et les Pays-Bas, sans toutefois préciser de date. Niklas Östberg, le PDG du groupe, a expliqué pendant la présentation des résultats trimestriels que Foodora allait arrêter ses activités « dans les marchés où nous ne sommes pas numéro 1 et où nous ne voyons pas de moyen d'obtenir cette place ».
Dans un communiqué, l'entreprise indique vouloir concentrer son attention sur les marchés où elle entrevoir « de meilleurs potentiels de croissance ». L'Australie n'en fait donc pas partie, alors que Foodora s'y était lancé en 2015. À l'instar de ses concurrents comme Deliveroo et Uber Eats, le groupe allemand met en relation des restaurants locaux avec des livreurs à vélo. Ces derniers sont payés à la course, avec très peu de couverture sociale et surtout, ils ne sont pas considérés comme des employés.
En Australie, Foodora est poursuivi depuis le mois de juin par trois coursiers auprès de l'institution qui veille au respect du droit du travail. Celle-ci estime que l'entreprise a enfreint les lois du pays et n'a pas suffisamment rémunéré les livreurs. En France, des livreurs travaillant pour ces sociétés ont fait grève durant la coupe du monde de football pour protester contre leurs conditions de travail.
Dans un communiqué, l'entreprise indique vouloir concentrer son attention sur les marchés où elle entrevoir « de meilleurs potentiels de croissance ». L'Australie n'en fait donc pas partie, alors que Foodora s'y était lancé en 2015. À l'instar de ses concurrents comme Deliveroo et Uber Eats, le groupe allemand met en relation des restaurants locaux avec des livreurs à vélo. Ces derniers sont payés à la course, avec très peu de couverture sociale et surtout, ils ne sont pas considérés comme des employés.
En Australie, Foodora est poursuivi depuis le mois de juin par trois coursiers auprès de l'institution qui veille au respect du droit du travail. Celle-ci estime que l'entreprise a enfreint les lois du pays et n'a pas suffisamment rémunéré les livreurs. En France, des livreurs travaillant pour ces sociétés ont fait grève durant la coupe du monde de football pour protester contre leurs conditions de travail.