Le salaire, principale raison pour changer de poste
Cette étude, réalisée auprès de 4 000 salariés dans le monde (500 en France), confirme s'il en était besoin que c'est bien le salaire qui est au cœur des préoccupations des Français. Pour près de 4 personnes interrogées sur 10, un meilleur salaire est la raison qui a motivé le changement d'emploi. Deux candidats sur trois s'estiment sous-payés, tandis que 46% d'entre eux se disent prêts à refuser une offre si le salaire n'est pas à la hauteur de leurs attentes. 7 candidats sur 10 sont « à l'aise » pour négocier leur salaire en acceptant un nouveau poste.
Lors d'une proposition d'embauche, un candidat considère d'abord et avant tout le salaire, à 62%. Viennent ensuite le temps de trajet (47%), les horaires flexibles (34%), les avantages sociaux (32%) puis, à 31%, les opportunités de développement. Le salaire est une chose, mais les candidats regardent également ce qu'il en est des primes et des bonus (62%), le nombre de congés payés (56%) et la couverture mutuelle/prévoyance (40%).
Lors d'une proposition d'embauche, un candidat considère d'abord et avant tout le salaire, à 62%. Viennent ensuite le temps de trajet (47%), les horaires flexibles (34%), les avantages sociaux (32%) puis, à 31%, les opportunités de développement. Le salaire est une chose, mais les candidats regardent également ce qu'il en est des primes et des bonus (62%), le nombre de congés payés (56%) et la couverture mutuelle/prévoyance (40%).
Il n'y a pas que le salaire
Près de 4 candidats sur 10 pensent qu'il y a un écart de salaire entre les sexes. 80% d'entre eux aimeraient d'ailleurs davantage de transparence sur les rémunérations. L'étude met en relief le fait que les femmes sont moins à l'aise pour négocier leur salaire (à 80%) que les hommes (64%). Les recruteurs doivent avoir en tête que les candidats regardent également de près les valeurs de l'entreprise (c'est le cas pour 9 candidats sur 10).
La valeur la plus importante demeure le respect (68%), suivis par l'honnêteté (62%), la confiance (56%), puis loin derrière la transparence et la responsabilisation à 38 et 36%. 89% affirment que les questions liées aux changements climatiques sont importantes. Monster explique que la rémunération n’est pas l’unique moteur pour un salarié : d’autres variables peuvent entrer en jeu comme l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle, les avantages proposés par l'entreprise, ou encore une politique de responsabilité sociale et environnementale engagée.
La valeur la plus importante demeure le respect (68%), suivis par l'honnêteté (62%), la confiance (56%), puis loin derrière la transparence et la responsabilisation à 38 et 36%. 89% affirment que les questions liées aux changements climatiques sont importantes. Monster explique que la rémunération n’est pas l’unique moteur pour un salarié : d’autres variables peuvent entrer en jeu comme l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle, les avantages proposés par l'entreprise, ou encore une politique de responsabilité sociale et environnementale engagée.