Mais le président de la République, en visite sur les chantiers pour l'inauguration d'un paquebot de croisière, a manifesté la volonté très claire de revoir l'accord d'actionnariat qui est intervenu au mois d'avril, avant l'élection présidentielle donc. L'objectif du chef de l'État est de « garantir la préservation des emplois », ainsi que le savoir-faire et l'expertise des effectifs des chantiers navals.
Cette nouvelle structure, dont la mise en place est pilotée par Bruno Le Maire le ministre de l'Économie, doit permettre de « consolider le plan de charge industriel et garantir la pérennité des emplois, car en aucun cas, en raison de l'actionnariat, ne doit être privilégié un site contre un autre ». Fincantieri aurait dû obtenir 66,66% du capital des chantiers.
L'État veut amener des croisiéristes dans le capital des chantiers. MSC Croisières, qui a commandé le navire inauguré en début de semaine par le président de la République, a signé une lettre d'intention pour quatre paquebots supplémentaires (un contrat de 4,5 milliards d'euros). Le groupe, ainsi que Royal Caribbean, vont prendre des parts dans les chantiers, qui remplaceront la part d'une fondation italienne de Triste considérée comme un « faux nez » de Fincantieri.
Cette nouvelle structure, dont la mise en place est pilotée par Bruno Le Maire le ministre de l'Économie, doit permettre de « consolider le plan de charge industriel et garantir la pérennité des emplois, car en aucun cas, en raison de l'actionnariat, ne doit être privilégié un site contre un autre ». Fincantieri aurait dû obtenir 66,66% du capital des chantiers.
L'État veut amener des croisiéristes dans le capital des chantiers. MSC Croisières, qui a commandé le navire inauguré en début de semaine par le président de la République, a signé une lettre d'intention pour quatre paquebots supplémentaires (un contrat de 4,5 milliards d'euros). Le groupe, ainsi que Royal Caribbean, vont prendre des parts dans les chantiers, qui remplaceront la part d'une fondation italienne de Triste considérée comme un « faux nez » de Fincantieri.