Tout d'abord, les bonnes nouvelles : la grande majorité des 200 000 salariés français interrogés dans cette étude se disent heureux au travail. Ils sont près de 8 sur 10 à le penser, avec des résultats encourageants : 70% indiquent qu'ils rient souvent au travail, 59% disent y prendre du plaisir, 57% sont « fier » de ce qu'ils font tous les jours. Et ces sentiments ne sont pas forcément issus que de la rémunération pécuniaire qu'on tire du travail, mais aussi du « sentiment d'utilité » et des relations humaines que l'on tisse au travail.
Mais si le travail est bien souvent une source d'épanouissement, il peut aussi cacher aussi un sentiment de mal-être. Pour 35% des personnes interrogées, le travail représente des soucis de santé, pour certains il les « délabre » tout simplement. C'est le cas en particulier pour 40% des salariés et ouvriers qui gagnent moins de 1 500 euros par mois. Problèmes de sommeil, douleurs physiques, prises fréquentes de médicaments pour tenir le coup : des symptômes provoqués par le travail.
Pour un Français sur deux, la charge de travail est jugée excessive. C'est là qu'interviennent les soucis de santé. Par ailleurs, le management a également une part de responsabilité dans ce mal-être, puisque 73% des personnes interrogées voudraient participer plus aux prises de décision. 27% seulement des salariés estiment bénéficier d'un niveau « normal » d'autonomie au sein de l'entreprise.
Mais si le travail est bien souvent une source d'épanouissement, il peut aussi cacher aussi un sentiment de mal-être. Pour 35% des personnes interrogées, le travail représente des soucis de santé, pour certains il les « délabre » tout simplement. C'est le cas en particulier pour 40% des salariés et ouvriers qui gagnent moins de 1 500 euros par mois. Problèmes de sommeil, douleurs physiques, prises fréquentes de médicaments pour tenir le coup : des symptômes provoqués par le travail.
Pour un Français sur deux, la charge de travail est jugée excessive. C'est là qu'interviennent les soucis de santé. Par ailleurs, le management a également une part de responsabilité dans ce mal-être, puisque 73% des personnes interrogées voudraient participer plus aux prises de décision. 27% seulement des salariés estiment bénéficier d'un niveau « normal » d'autonomie au sein de l'entreprise.