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Pour commencer, selon Deloitte, l'entretien annuel a un problème de temporalité : parler une seule fois avec ses collaborateurs chaque année n'est pas suffisant pour améliorer l'entreprise et comprendre quels sont les problèmes. Il vaut mieux lui préférer des retours réguliers mettant en avant point positifs et problèmes. Mais ça ne marche que si l'entreprise reste de petite taille.
Chez les géants, comme chez Microsoft, ce sont plutôt des entretiens trimestriels qui sont à la mode, ou encore des entretiens ponctuels. Le but est toujours le même : ne pas attendre un an avant de faire les changements jugés utiles.
L'entretien annuel, qui plus est, fonctionne en termes de notes et les grilles de notations sont créées par l'entreprise elle-même. Cela leur confère un côté subjectif qui peut être remis en cause par les salariés. Le dialogue, au contraire, permet librement d'exprimer ce qu'il est nécessaire de pointer, sans forcément devoir le mettre dans des cases qui peuvent s'avérer inadaptées.
Dernier problème, selon Deloitte, et pas des moindres : la question des équipes. En prenant en compte les avis des salariés un par un on ne prend finalement pas en compte l'avis de l'équipe entière. De fait les doléances peuvent changer mais le fond du problème, s'il y en a, pourrait ne pas apparaître.
Dans le cadre d'une entreprise travaillant beaucoup par équipes, il est donc conseillé d'ajouter, en plus des entretiens individuels multiples, des entretiens en groupe ou une auto-évaluation de l'équipe sur ses rapports entre ses membres et entre les autres équipes.
Chez les géants, comme chez Microsoft, ce sont plutôt des entretiens trimestriels qui sont à la mode, ou encore des entretiens ponctuels. Le but est toujours le même : ne pas attendre un an avant de faire les changements jugés utiles.
L'entretien annuel, qui plus est, fonctionne en termes de notes et les grilles de notations sont créées par l'entreprise elle-même. Cela leur confère un côté subjectif qui peut être remis en cause par les salariés. Le dialogue, au contraire, permet librement d'exprimer ce qu'il est nécessaire de pointer, sans forcément devoir le mettre dans des cases qui peuvent s'avérer inadaptées.
Dernier problème, selon Deloitte, et pas des moindres : la question des équipes. En prenant en compte les avis des salariés un par un on ne prend finalement pas en compte l'avis de l'équipe entière. De fait les doléances peuvent changer mais le fond du problème, s'il y en a, pourrait ne pas apparaître.
Dans le cadre d'une entreprise travaillant beaucoup par équipes, il est donc conseillé d'ajouter, en plus des entretiens individuels multiples, des entretiens en groupe ou une auto-évaluation de l'équipe sur ses rapports entre ses membres et entre les autres équipes.