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C'est l'agence Bloomberg qui dévoile le désir d'Alphabet de vendre Boston Dynamics. Lors de la réorganisation du groupe, en effet, l'entreprise n'a pas été placée sous la bannière de Google X, la filiale spécialisée dans la recherche et l'innovation de Google. Pourtant, la filiale qui développe la robotique chez le géant, Replicant et qui chapeautait Boston Dynamics depuis son rachat en 2013, fait bien partie de Google X.
Boston Dynamics n'est pas devenue, non plus, une entreprise à part de la holding Alphabet. La vente était donc prévue de longue date et cette décision pourrait avoir été le résultat de l'architecte et ingénieur en chef de Replicant, Andy Rubin.
Survenu en 2015, le départ d'Andy Rubin a complètement changé les plans de Boston Dynamics. Ayant perdu un membre clé de son équipe, l'entreprise a vu ses projets être retardés. Or, selon les plans de Google, le premier produit à destination du grand public aurait dû sortir en 2020. Ce ne sera probablement pas le cas.
Mais Google serait, selon Coutney Hohne, porte-parole du groupe dont les propos ont été rapportés par Bloomberg, également inquiet de l'image que transmettent les robots. "Il y a l'excitation de la part de la presse spécialisée, mais nous commençons également à voir des avis négatifs disant que [les robots] sont dangereux, prêts à prendre le travail de l'homme" a-t-il déclaré sur un forum.
Une telle mauvaise image ne plait pas à Google déjà attaqué sur le front de son optimisation fiscale et sur bien d'autres. En vendant Boston Dynamics, Google pourrait vouloir tenter d'effacer cette vision négative... tout en continuant de développer des robots chez Replicant, beaucoup moins connue du grand public.
Boston Dynamics n'est pas devenue, non plus, une entreprise à part de la holding Alphabet. La vente était donc prévue de longue date et cette décision pourrait avoir été le résultat de l'architecte et ingénieur en chef de Replicant, Andy Rubin.
Survenu en 2015, le départ d'Andy Rubin a complètement changé les plans de Boston Dynamics. Ayant perdu un membre clé de son équipe, l'entreprise a vu ses projets être retardés. Or, selon les plans de Google, le premier produit à destination du grand public aurait dû sortir en 2020. Ce ne sera probablement pas le cas.
Mais Google serait, selon Coutney Hohne, porte-parole du groupe dont les propos ont été rapportés par Bloomberg, également inquiet de l'image que transmettent les robots. "Il y a l'excitation de la part de la presse spécialisée, mais nous commençons également à voir des avis négatifs disant que [les robots] sont dangereux, prêts à prendre le travail de l'homme" a-t-il déclaré sur un forum.
Une telle mauvaise image ne plait pas à Google déjà attaqué sur le front de son optimisation fiscale et sur bien d'autres. En vendant Boston Dynamics, Google pourrait vouloir tenter d'effacer cette vision négative... tout en continuant de développer des robots chez Replicant, beaucoup moins connue du grand public.