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Comme toujours le but d'un tel plan social est de faire des économies d'échelle pour réduire les coûts et augmenter les marges. Et selon Nokia le plan que le groupe a prévu devrait lui permettre de dégager près d'un milliard d'euros d'économies, 900 millions très exactement. Elles devraient être possibles grâce aux synergies entre les deux groupes et passeraient, bien évidemment, par la suppression de postes en double et de postes rendus inutiles.
30 pays sont concernés par ce plan de licenciements d'une échelle sans précédent pour Nokia. Une information confirmée par le groupe qui n'avance toutefois pas de chiffres précis concernant le nombre des postes supprimés. Ce sont le magazine Forbes et l'agence Bloomberg qui, informés par des sources proches du dossier, auraient obtenu un chiffrage.
Entre 10 000 et 15 000 emplois seraient ainsi supprimés par Nokia, soit près de 10 % de l'effectif total du groupe. L'Allemagne et la Finlande paieraient le plus lourd tribut avec respectivement 1 400 et 1 300 emplois supprimés. Et la France ne serait pas en reste.
Nokia prévoit de supprimer 400 des 4 200 employés que le groupe a en France et ce malgré la signature de l'accord avec le gouvernement garantissant l'emploi après la fusion. Mais il semblerait que Nokia soit dans son droit : le groupe a créé 500 postes depuis le rachat d'Alcatel-Lucent et la suppression de 400 postes maintiendrait la balance dans le positif.
30 pays sont concernés par ce plan de licenciements d'une échelle sans précédent pour Nokia. Une information confirmée par le groupe qui n'avance toutefois pas de chiffres précis concernant le nombre des postes supprimés. Ce sont le magazine Forbes et l'agence Bloomberg qui, informés par des sources proches du dossier, auraient obtenu un chiffrage.
Entre 10 000 et 15 000 emplois seraient ainsi supprimés par Nokia, soit près de 10 % de l'effectif total du groupe. L'Allemagne et la Finlande paieraient le plus lourd tribut avec respectivement 1 400 et 1 300 emplois supprimés. Et la France ne serait pas en reste.
Nokia prévoit de supprimer 400 des 4 200 employés que le groupe a en France et ce malgré la signature de l'accord avec le gouvernement garantissant l'emploi après la fusion. Mais il semblerait que Nokia soit dans son droit : le groupe a créé 500 postes depuis le rachat d'Alcatel-Lucent et la suppression de 400 postes maintiendrait la balance dans le positif.