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Le plan "New Deal 2017" vise à faire des économies d'échelle chez l'opérateur SFR qui est toujours dans le rouge et ne cesse de perdre des clients. Pour ce faire, dès juillet 2017 le groupe compte se séparer de 5 000 effectifs sur les 15 000 que compte actuellement l'opérateur. Le plan, signé par les deux syndicats majoritaires, la CFDT et l'Unsa, ne plaît pas aux deux autres.
La CFE-CGC a même annoncé avoir déposé une plainte pour "escroquerie" car elle critique le fait que le plan soit prévu dès la fin des trois ans de statu quo. De plus, selon les syndicats, il y aurait eu depuis le rachat de SFR par Numericable en 2014 près de 1 200 départs volontaires ainsi que des contrats non renouvelés chez des sous-traitants, notamment dans le domaine des centres d'appels.
A ça s'ajouteraient les emplois supprimés dans les branches non protégées par l'accord signé entre le câblo-opérateur et le gouvernement, au nombre de 1 000, ainsi que divers transferts. Avec le dépôt de plainte, la CFE-CGC espère que la justice bloque le projet.
De son côté la direction de SFR précise que l'accord a été signé par les syndicats majoritaires et que le groupe a respecté la volonté du gouvernement en maintenant l'emploi aux niveaux de 2014 pendant 3 ans. Mais les pertes se sont accumulées et SFR a perdu sa position de deuxième opérateur dans le fixe au profit de Free durant l'été.
La CFE-CGC a même annoncé avoir déposé une plainte pour "escroquerie" car elle critique le fait que le plan soit prévu dès la fin des trois ans de statu quo. De plus, selon les syndicats, il y aurait eu depuis le rachat de SFR par Numericable en 2014 près de 1 200 départs volontaires ainsi que des contrats non renouvelés chez des sous-traitants, notamment dans le domaine des centres d'appels.
A ça s'ajouteraient les emplois supprimés dans les branches non protégées par l'accord signé entre le câblo-opérateur et le gouvernement, au nombre de 1 000, ainsi que divers transferts. Avec le dépôt de plainte, la CFE-CGC espère que la justice bloque le projet.
De son côté la direction de SFR précise que l'accord a été signé par les syndicats majoritaires et que le groupe a respecté la volonté du gouvernement en maintenant l'emploi aux niveaux de 2014 pendant 3 ans. Mais les pertes se sont accumulées et SFR a perdu sa position de deuxième opérateur dans le fixe au profit de Free durant l'été.