cc/flickr/ Sera69
Dans une étude publiée par l’Apec, l’Association pour l’emploi des cadres, on remarque que Paris reste en tête pour ce qui concerne le dynamisme économique. Centre névralgique de l’économie française, 72% des cadres placent Paris en tête de la liste de leur « villes préférées » notamment car, pour 87% d’entre eux il est « plutôt facile » d’y trouver un emploi.
Pourtant, les cadres ne placent pas Paris en haut du tableau général car, de toute évidence, la qualité de vie n’est pas au rendez-vous. Lyon prend la première place car, selon les cadres interrogés, elle allie facilité d’emploi (74% estiment qu’il est facile d’y trouver un travail) mais également « dynamisme économique » (pour 60%) d’entre eux avec, en prime, la qualité de vie.
Il en est de même pour Toulouse qui obtient la deuxième place du classement général même si seulement 57% des cadres estiment qu’il est facile d’y trouver du travail.
Ce classement s’explique car les cadres considèrent comme critère d’attractivité la proximité avec la nature (44%) et la facilité d’accès aux réseaux de transport (38%). Si niveau transports Paris n’a rien à envier à la province, niveau nature ce n’est pas réellement le cas.
Néanmoins les cadres restent attachés aux villes. Selon l’Apec, dans le privé, 62% des cadres résident dans les 14 métropoles créent par la loi de décentralisation du 27 janvier 2014. Mais Paris est la ville avec la plus grande concentration de cadres : 26% travaillent et habitent dans ce qui sera le Grand Paris.
Pourtant, les cadres ne placent pas Paris en haut du tableau général car, de toute évidence, la qualité de vie n’est pas au rendez-vous. Lyon prend la première place car, selon les cadres interrogés, elle allie facilité d’emploi (74% estiment qu’il est facile d’y trouver un travail) mais également « dynamisme économique » (pour 60%) d’entre eux avec, en prime, la qualité de vie.
Il en est de même pour Toulouse qui obtient la deuxième place du classement général même si seulement 57% des cadres estiment qu’il est facile d’y trouver du travail.
Ce classement s’explique car les cadres considèrent comme critère d’attractivité la proximité avec la nature (44%) et la facilité d’accès aux réseaux de transport (38%). Si niveau transports Paris n’a rien à envier à la province, niveau nature ce n’est pas réellement le cas.
Néanmoins les cadres restent attachés aux villes. Selon l’Apec, dans le privé, 62% des cadres résident dans les 14 métropoles créent par la loi de décentralisation du 27 janvier 2014. Mais Paris est la ville avec la plus grande concentration de cadres : 26% travaillent et habitent dans ce qui sera le Grand Paris.