« Je pense qu'il faut accroître la part de mérite, la part d'évaluation, dans la rémunération de la fonction publique », a-t-il déclaré, tout en soulignant qu'il s'agissait d'une « conviction personnelle »… histoire de ne pas allumer le feu de la critique.
Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique, a réagi de son côté en indiquant qu'il s'agissait là d'une « bonne idée », et en précisant : « Évidemment il ne s'agit pas de conditionner leur traitement au mérite, mais leur régime indemnitaire ».
La collègue d'Emmanuel Macron au gouvernement prévient qu'il ne faut pas agiter le chiffon rouge et qu'il faut qu'il y ait « une discussion avec les syndicats, et il faut aussi qu'on puisse avoir cette prime pour les travaux en équipe ». « Si [les fonctionnaires] font plus que ce qu'on leur demande, s'ils ont une grande capacité d'initiative, pourquoi arrêterait-on leur carrière et leur rémunération ? ». La balle est maintenant dans le camp des partenaires sociaux.
Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique, a réagi de son côté en indiquant qu'il s'agissait là d'une « bonne idée », et en précisant : « Évidemment il ne s'agit pas de conditionner leur traitement au mérite, mais leur régime indemnitaire ».
La collègue d'Emmanuel Macron au gouvernement prévient qu'il ne faut pas agiter le chiffon rouge et qu'il faut qu'il y ait « une discussion avec les syndicats, et il faut aussi qu'on puisse avoir cette prime pour les travaux en équipe ». « Si [les fonctionnaires] font plus que ce qu'on leur demande, s'ils ont une grande capacité d'initiative, pourquoi arrêterait-on leur carrière et leur rémunération ? ». La balle est maintenant dans le camp des partenaires sociaux.