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Le nouveau groupe TechnipFMC sera un spécialiste des activités parapétrolières qui pèsera lourd : 20 milliards de dollars de chiffre d'affaires, 49 000 salariés dans le monde et... un siège social à Londres. Mais le groupe a annoncé garder ses sièges sociaux de Paris et Houston, au Texas, en tant que sièges opérationnels.
Concernant la nouvelle direction, les deux PDG vont se répartir les tâches. Thierry Pilenko, PDG de Technip, deviendra président exécutif de TechnipFMC tandis que Doug Pferderhit, de chez FMC, deviendra directeur des opérations de TechnipFMC. Un partage qui ne fait toutefois pas oublier le départ du groupe à Londres.
Le déménagement du siège social semble en effet être justifié par la fiscalité avantageuse qu'applique le Royaume-Uni par rapport à la France ou les Etats-Unis. Mais pour l'instant, le groupe déclare que là n'est pas la question et, qui plus est, les deux sociétés s'engagent à ne pas procéder à un plan social (Technip a déjà supprimé 6 000 emplois après une chute de son chiffre d'affaires, notamment à cause de la chute des prix du pétrole et donc l'abandon d'investissements de la part des groupes pétroliers).
"On paye nos impôts dans les pays où l'on travaille" a déclaré Thierry Pilenko avant d'ajouter que la fusion entre les deux groupes " Ce n'est pas quelque chose que nous avons construit pour des raisons fiscales, mais pour des raisons industrielles". Reste que, c'est une nouvelle entreprise qui quitte le sol français.
Concernant la nouvelle direction, les deux PDG vont se répartir les tâches. Thierry Pilenko, PDG de Technip, deviendra président exécutif de TechnipFMC tandis que Doug Pferderhit, de chez FMC, deviendra directeur des opérations de TechnipFMC. Un partage qui ne fait toutefois pas oublier le départ du groupe à Londres.
Le déménagement du siège social semble en effet être justifié par la fiscalité avantageuse qu'applique le Royaume-Uni par rapport à la France ou les Etats-Unis. Mais pour l'instant, le groupe déclare que là n'est pas la question et, qui plus est, les deux sociétés s'engagent à ne pas procéder à un plan social (Technip a déjà supprimé 6 000 emplois après une chute de son chiffre d'affaires, notamment à cause de la chute des prix du pétrole et donc l'abandon d'investissements de la part des groupes pétroliers).
"On paye nos impôts dans les pays où l'on travaille" a déclaré Thierry Pilenko avant d'ajouter que la fusion entre les deux groupes " Ce n'est pas quelque chose que nous avons construit pour des raisons fiscales, mais pour des raisons industrielles". Reste que, c'est une nouvelle entreprise qui quitte le sol français.