cc/flickr/Scottish Government
Jeff Bezos, PDG du libraire d’Internet, estime faire du bien à la fois à l’entreprise mais également aux employés : « Un employé qui reste dans une entreprise où il ne se sent pas bien, cela n'est bon ni pour lui, ni pour la société ». Et il n’a peut-être pas tort même si la pratique est un peu critiquable.
L’idée est simple : les employés d’Amazon se verront, chaque année, proposer un chèque de départ pour quitter leur emploi. La première année, ce chèque sera de 2000 dollars et pourra augmenter jusqu’à un maximum de 5000 dollars à hauteur de 1000 dollars par an. Une offre appelée « Pay to leave » qui vise à améliorer les équipes.
En effet, ce ne seront que les centres logistiques d’Amazon, souvent critiqués pour les conditions de travail dures et où l’efficacité est un critère premier (le géant doit gérer des centaines de milliers de commandes par jour et fait même appel à des intérimaires au moment des rush) qui se verront proposer ces chèques. Avec l’espoir, précise Bezos, qu’ils n’accepteront pas.
Lancée uniquement aux Etats-Unis, la campagne, si elle fonctionne, pourrait s’exporter. Notamment en Allemagne où Amazon est frappée régulièrement par des grèves de la part de ses employés des entrepôts qui aimeraient une augmentation de salaire.
En France aussi les entrepôts d’Amazon sont sous le feu de la critique à cause des conditions de travail mais difficile de croire qu’une telle offre puisse être adaptée à l’Hexagone.
L’idée est simple : les employés d’Amazon se verront, chaque année, proposer un chèque de départ pour quitter leur emploi. La première année, ce chèque sera de 2000 dollars et pourra augmenter jusqu’à un maximum de 5000 dollars à hauteur de 1000 dollars par an. Une offre appelée « Pay to leave » qui vise à améliorer les équipes.
En effet, ce ne seront que les centres logistiques d’Amazon, souvent critiqués pour les conditions de travail dures et où l’efficacité est un critère premier (le géant doit gérer des centaines de milliers de commandes par jour et fait même appel à des intérimaires au moment des rush) qui se verront proposer ces chèques. Avec l’espoir, précise Bezos, qu’ils n’accepteront pas.
Lancée uniquement aux Etats-Unis, la campagne, si elle fonctionne, pourrait s’exporter. Notamment en Allemagne où Amazon est frappée régulièrement par des grèves de la part de ses employés des entrepôts qui aimeraient une augmentation de salaire.
En France aussi les entrepôts d’Amazon sont sous le feu de la critique à cause des conditions de travail mais difficile de croire qu’une telle offre puisse être adaptée à l’Hexagone.