Le tribunal de Brunswick a annoncé, vendredi 27 janvier 2017, avoir élargi le nombre de mises en examen dans l’affaire des logiciels truqueurs de Volkswagen. Ces logiciels, installés sur les moteurs, visaient à faire baisser le niveau des émissions polluantes lors des tests officiels afin de pouvoir vendre les voitures comme « plus propres ». Pas moins de 11 millions de véhicules, pour le seul groupe Volkswagen, sont concernés.
Le scandale a causé la démission du président de Volkswagen en charge lorsqu’il a éclaté en septembre 2015 : Martin Winterkorn. Ce dernier a toujours clamé ne pas avoir été mis au courant du logiciel truqueur, une thèse défendue également par son successeur, Thomas Mueller. Mais la justice allemande semble d’un autre avis.
Dans un communiqué de presse, le tribunal de Brunswick, en Allemagne, a annoncé avoir porté de 21 à 37 le nombre de personnes mises en examen pour fraude. « Parmi elles il y a Martin Winterkorn » a déclaré le procureur qui annonce avoir assez d’éléments pour soutenir les accusations.
La Bourse a immédiatement réagi à l’annonce de la mise en examen en sanctionnant Volkswagen d’une baisse de 2 % de sa valeur, vendredi 27 janvier 2017 dans l’après-midi.
Le scandale a causé la démission du président de Volkswagen en charge lorsqu’il a éclaté en septembre 2015 : Martin Winterkorn. Ce dernier a toujours clamé ne pas avoir été mis au courant du logiciel truqueur, une thèse défendue également par son successeur, Thomas Mueller. Mais la justice allemande semble d’un autre avis.
Dans un communiqué de presse, le tribunal de Brunswick, en Allemagne, a annoncé avoir porté de 21 à 37 le nombre de personnes mises en examen pour fraude. « Parmi elles il y a Martin Winterkorn » a déclaré le procureur qui annonce avoir assez d’éléments pour soutenir les accusations.
La Bourse a immédiatement réagi à l’annonce de la mise en examen en sanctionnant Volkswagen d’une baisse de 2 % de sa valeur, vendredi 27 janvier 2017 dans l’après-midi.