cc/flickr/Parti Socialiste
Le gouvernement serait-il en train de se fourvoyer et d’espérer trop du Pacte de responsabilité ? À en croire l’avis des DRH sur la question oui : seuls 16% estiment qu’une création d’emplois à court terme va découler de la baisse des charges selon une étude publiée par l’Association nationale des directeurs de ressources humaines le mardi 20 mai 2014.
En fait, ils sont 37% à penser qu’il n’y aura, à court terme, « aucun changement significatif » à la suite de la baisse des charges. On est donc loin des 500 000 emplois prévus d’ici à 2017.
Mais alors, comment les DRH pensent que les entreprises vont dépenser l’argent récolté par ces mesures ? Les avis sont partagés 25% considèrent que cela pourrait entraîner des investissements, 25% des rémunérations plus attractives et 24% une augmentation des marges de l’entreprise.
De même, toujours concernant l’emploi, il semblerait que la loi sur la sécurisation de l’emploi n’ait plus la confiance qu’elle avait il y a un an, lors de sa promulgation en avril 2013. A l’époque, 53% des DRH estimaient qu’il s’agissait là d’une réponse efficace à la question de la flexibilisation de l’emploi mais ils ne sont plus que 19% à le penser aujourd’hui, toujours selon le sondage de l’Association nationale des DRH.
En fait, ils sont 37% à penser qu’il n’y aura, à court terme, « aucun changement significatif » à la suite de la baisse des charges. On est donc loin des 500 000 emplois prévus d’ici à 2017.
Mais alors, comment les DRH pensent que les entreprises vont dépenser l’argent récolté par ces mesures ? Les avis sont partagés 25% considèrent que cela pourrait entraîner des investissements, 25% des rémunérations plus attractives et 24% une augmentation des marges de l’entreprise.
De même, toujours concernant l’emploi, il semblerait que la loi sur la sécurisation de l’emploi n’ait plus la confiance qu’elle avait il y a un an, lors de sa promulgation en avril 2013. A l’époque, 53% des DRH estimaient qu’il s’agissait là d’une réponse efficace à la question de la flexibilisation de l’emploi mais ils ne sont plus que 19% à le penser aujourd’hui, toujours selon le sondage de l’Association nationale des DRH.