Un plan social de grande ampleur est en préparation chez Vallourec, qui fabrique des tubes en acier et fournit une bonne partie de l’industrie pétrolière. L’entreprise traine comme un boulet une dette financière de 2 milliards d’euros. Pourtant, la société a connu une amélioration de ses résultats au troisième trimestre, durant lequel elle a affiché un résultat d’exploitation de 43 millions d’euros (contre 9 millions un an auparavant). La perte nette reste importante, à 92 millions. Des chiffres qui ne rassurent pas les investisseurs : l’action de Vallourec a abandonné 60% depuis le début de l’année.
Et cette chute du cours de Bourse s’accélère puisque l’action a perdu 50% de sa valeur en un mois. La note de l’entreprise a été dégradée par S&P : de B, elle est passée à B-1. Pas de quoi relancer le titre… La direction du groupe préparerait des restructurations en profondeur dans trois usines françaises (Montbard, en Côte d’Or, Saint Saulve et Aulnoye dans le Nord) et à Düsseldorf, en Allemagne. En tout, ce sont 1 800 emplois qui seraient concernés, dont 1 200 en France. Coupes claires débuteraient dès l’année prochaine.
Vallourec a cependant démenti vouloir mettre en place un « plan social de grande ampleur en France », après la clôture de la Bourse. En revanche, la société indique travailler sur la définition d’un « plan d’actions » pour renforcer la compétitivité de ses activités outre-Rhin. Les instances représentatives du personnel seront consultées le moment venu.
Et cette chute du cours de Bourse s’accélère puisque l’action a perdu 50% de sa valeur en un mois. La note de l’entreprise a été dégradée par S&P : de B, elle est passée à B-1. Pas de quoi relancer le titre… La direction du groupe préparerait des restructurations en profondeur dans trois usines françaises (Montbard, en Côte d’Or, Saint Saulve et Aulnoye dans le Nord) et à Düsseldorf, en Allemagne. En tout, ce sont 1 800 emplois qui seraient concernés, dont 1 200 en France. Coupes claires débuteraient dès l’année prochaine.
Vallourec a cependant démenti vouloir mettre en place un « plan social de grande ampleur en France », après la clôture de la Bourse. En revanche, la société indique travailler sur la définition d’un « plan d’actions » pour renforcer la compétitivité de ses activités outre-Rhin. Les instances représentatives du personnel seront consultées le moment venu.