Ce calcul a été réalisé par la lettre féministe Les Glorieuses, sur la base des dernières statistiques d’Eurostat concernant les salaires. En 2014, les salaires bruts moyens des femmes étaient de 15,1% moins élevés que ceux des hommes. C’est d’autant plus frappant que 48% de la population active sont… des femmes, soit 13,795 millions de personnes en France.
Mais les auteurs du calcul ne s’arrêtent pas là. Les Glorieuses prend aussi compte les tâches non rémunérées, comme les tâches domestiques par exemple. Les hommes n’y consacrent que 2 heures par jour en moyenne, contre 3,5 heures pour les femmes. Une rémunération équitable devrait donc prendre aussi en compte ce type de travail.
L’Insee, sur lequel s’appuient aussi Les Glorieuses pour étayer sa thèse, explique que les écarts de salaires s’expliquent aussi par le fait que les hommes et les femmes n’occupent pas les mêmes emplois, et que le nombre d’heures travaillées n’est pas le même selon le sexe. L’institut statistiques indiquant qu’à profession équivalente, les femmes perçoivent un salaire de 10% inférieur à celui des hommes.
Mais les auteurs du calcul ne s’arrêtent pas là. Les Glorieuses prend aussi compte les tâches non rémunérées, comme les tâches domestiques par exemple. Les hommes n’y consacrent que 2 heures par jour en moyenne, contre 3,5 heures pour les femmes. Une rémunération équitable devrait donc prendre aussi en compte ce type de travail.
L’Insee, sur lequel s’appuient aussi Les Glorieuses pour étayer sa thèse, explique que les écarts de salaires s’expliquent aussi par le fait que les hommes et les femmes n’occupent pas les mêmes emplois, et que le nombre d’heures travaillées n’est pas le même selon le sexe. L’institut statistiques indiquant qu’à profession équivalente, les femmes perçoivent un salaire de 10% inférieur à celui des hommes.