Ce coup de pouce concerne les PME jusqu'à 250 salariés. L'idée est très simple, croit savoir RTL : il s'agira d'un chèque de 2 000 euros versé à ces entreprises pour toute personne embauchée entre 1,2 et 1,3 Smic. Une mesure facile à lire et à comprendre, et aussi facile à vendre en termes de communication politique.
Le coût d'un tel dispositif serait élevé : on évoque le chiffre d'un milliard d'euros par an cette année et l'année prochaine. Ce « chèque emploi » serait de plus proposé très rapidement, puisqu'il est prévu une mise en œuvre quasi immédiate par le biais d'un décret. Le gouvernement aurait préféré agir très vite avec ce type de mesure, plutôt qu'une réduction des charges patronales — un dispositif qui est lent à se mettre en place, et qui ne produit pas tout de suite des résultats positifs.
L'été dernier, Manuel Valls vantait déjà une prime de 4 000 euros, cette fois pour les TPE embauchant leur premier salarié d'ici le juin prochain. Ce sont 80 000 emplois qui pourraient être créés par ce biais. Nul doute que l'exécutif attend de ce nouveau chèque emploi des résultats aussi élevés… voire plus.
Le coût d'un tel dispositif serait élevé : on évoque le chiffre d'un milliard d'euros par an cette année et l'année prochaine. Ce « chèque emploi » serait de plus proposé très rapidement, puisqu'il est prévu une mise en œuvre quasi immédiate par le biais d'un décret. Le gouvernement aurait préféré agir très vite avec ce type de mesure, plutôt qu'une réduction des charges patronales — un dispositif qui est lent à se mettre en place, et qui ne produit pas tout de suite des résultats positifs.
L'été dernier, Manuel Valls vantait déjà une prime de 4 000 euros, cette fois pour les TPE embauchant leur premier salarié d'ici le juin prochain. Ce sont 80 000 emplois qui pourraient être créés par ce biais. Nul doute que l'exécutif attend de ce nouveau chèque emploi des résultats aussi élevés… voire plus.