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Jeudi 29 septembre 2016 se tenait l'assemblée générale des actionnaires d'Ubisoft à laquelle participaient bien évidemment la famille Guillemot et Vivendi. Le groupe de médias est même aujourd'ui le premier actionnaire de l'éditeur de jeux vidéo à succès et a toujours annoncé vouloir passer à la vitesse supérieure.
L'affrontement était attendu entre Vivendi et Ubisoft. Il n'aura pas eu lieu. Le groupe de médias n'a pas formulé sa requête d'obtenir un siège au Conseil d'Administration ce qui, pourtant, est son objectif affiché. Il est possible que le groupe dirigé par Vincent Bolloré ait eu peur de la réaction des salariés.
Les salariés d'Ubisoft sont en effet totalement du côté de la famille Guillemot et l'ont clamé haut et fort quelques jours avant l'assemblée générale. Ils ont menacé Vivendi de démissionner massivement en cas de prise de contrôle non souhaitée des opérations du studio. De quoi contrer pour l'instant les tentatives de Vivendi.
Yves Guillemot a vu son mandat à la tête du conseil d'administration être renouvelé avec 65 % des votes (en comptant les abstentions) et sous les applaudissements des salariés-actionnaires qui se sont massivement mobilisés pour cette assemblée générale stratégique. Une grande majorité d'entre eux portaient des t-shirts avec le slogan "We are Ubisoft", slogan par lequel ils avaient, via une vidéo, annoncé à Vivendi leur intention de contrecarrer ses plans.
Reste que, avec près de 30 % du capital, Vivendi pèse 25 % des voix en assemblée générale et a joué de sa puissance pour contrer diverses résolutions, notamment en faveur des salariés. Le groupe a à nouveau affiché son intention de prendre le contrôle d'Ubisoft, ou au moins d'être représenté au conseil d'administration, dans les années à venir.
L'affrontement était attendu entre Vivendi et Ubisoft. Il n'aura pas eu lieu. Le groupe de médias n'a pas formulé sa requête d'obtenir un siège au Conseil d'Administration ce qui, pourtant, est son objectif affiché. Il est possible que le groupe dirigé par Vincent Bolloré ait eu peur de la réaction des salariés.
Les salariés d'Ubisoft sont en effet totalement du côté de la famille Guillemot et l'ont clamé haut et fort quelques jours avant l'assemblée générale. Ils ont menacé Vivendi de démissionner massivement en cas de prise de contrôle non souhaitée des opérations du studio. De quoi contrer pour l'instant les tentatives de Vivendi.
Yves Guillemot a vu son mandat à la tête du conseil d'administration être renouvelé avec 65 % des votes (en comptant les abstentions) et sous les applaudissements des salariés-actionnaires qui se sont massivement mobilisés pour cette assemblée générale stratégique. Une grande majorité d'entre eux portaient des t-shirts avec le slogan "We are Ubisoft", slogan par lequel ils avaient, via une vidéo, annoncé à Vivendi leur intention de contrecarrer ses plans.
Reste que, avec près de 30 % du capital, Vivendi pèse 25 % des voix en assemblée générale et a joué de sa puissance pour contrer diverses résolutions, notamment en faveur des salariés. Le groupe a à nouveau affiché son intention de prendre le contrôle d'Ubisoft, ou au moins d'être représenté au conseil d'administration, dans les années à venir.