Uber reste la start-up la mieux valorisée au monde, avec 68 milliards de dollars estimés par les analystes et les économistes. Un trophée que l'entreprise devrait conserver après la divulgation des résultats des précédente trimestres. Au second trimestre, le chiffre d'affaires s'est établi à 1,75 milliard de dollars, soit 250 millions de plus que durant les trois premiers mois de l'année. Sur l'ensemble de 2016, Uber a généré 6,5 milliards de revenus, pour des pertes de 2,8 milliards. Ces pertes sont de 708 millions pour le premier trimestre, et de 645 millions pour le second.
L'activité centrale d'Uber, à savoir les courses, a fortement progressé sur un an : +150%. Les chauffeurs ont reçu 50 millions de dollars de pourboires depuis la fin juin et le lancement dans l'application du service d'une fonction permettant aux voyageurs de laisser un pourboire. En tout, Uber a réalisé un chiffre d'affaires « brut » de 8,7 milliards de dollars, ce qui est le double de ce que le groupe avait encaissé il y a un an.
Uber n'est pas une société cotée en Bourse, ce qui rend difficile lisible la trajectoire financière de l'entreprise. Néanmoins, le groupe donne de temps à autre des indications sur ses résultats. Ce que l'on peut souligner, c'est donc une activité en augmentation, et des pertes qui reculent. De quoi attirer les profils pour remplacer l'ex-PDG Travis Kalanick : on prête ce rôle à beaucoup de dirigeants, mais pour le moment aucun n'a montré d'intérêt pour diriger Uber.
L'activité centrale d'Uber, à savoir les courses, a fortement progressé sur un an : +150%. Les chauffeurs ont reçu 50 millions de dollars de pourboires depuis la fin juin et le lancement dans l'application du service d'une fonction permettant aux voyageurs de laisser un pourboire. En tout, Uber a réalisé un chiffre d'affaires « brut » de 8,7 milliards de dollars, ce qui est le double de ce que le groupe avait encaissé il y a un an.
Uber n'est pas une société cotée en Bourse, ce qui rend difficile lisible la trajectoire financière de l'entreprise. Néanmoins, le groupe donne de temps à autre des indications sur ses résultats. Ce que l'on peut souligner, c'est donc une activité en augmentation, et des pertes qui reculent. De quoi attirer les profils pour remplacer l'ex-PDG Travis Kalanick : on prête ce rôle à beaucoup de dirigeants, mais pour le moment aucun n'a montré d'intérêt pour diriger Uber.