Le quotidien Les Echos a eu vent de cette nouveauté, liée à la volonté du gouvernement de réformer le système des prestations sociales : en regroupant le versement sur ce seul jour, il entend en effet réaliser 500 millions d'euros d'économies.
L'idée est simple : ce versement général se baserait sur l'inflation des douze derniers mois, alors qu'actuellement les revalorisations sont calculées en fonction de l'inflation prévue, suivie par un correctif liée à l'année précédente. Ce système pose problème en cas de hausse des prix modérée ou négative, comme c'est la tendance depuis de nombreux mois.
Il a donc fallu procéder à de nombreux ajustements qui ont provoqué confusion et incompréhension chez les bénéficiaires. Le mode de calcul envisagé par le gouvernement élimine ces corrections qui sont aussi préjudiciables aux caisses de l'État…
Le 1er avril est déjà une date pivot pour certaines revalorisations (les allocations familiales ou le minimum vieillesse, notamment), et le gouvernement entend y intégrer aussi les aides au logement, l'allocation adulte handicapé et le RSA qui sont normalement revalorisés début janvier.
L'idée est simple : ce versement général se baserait sur l'inflation des douze derniers mois, alors qu'actuellement les revalorisations sont calculées en fonction de l'inflation prévue, suivie par un correctif liée à l'année précédente. Ce système pose problème en cas de hausse des prix modérée ou négative, comme c'est la tendance depuis de nombreux mois.
Il a donc fallu procéder à de nombreux ajustements qui ont provoqué confusion et incompréhension chez les bénéficiaires. Le mode de calcul envisagé par le gouvernement élimine ces corrections qui sont aussi préjudiciables aux caisses de l'État…
Le 1er avril est déjà une date pivot pour certaines revalorisations (les allocations familiales ou le minimum vieillesse, notamment), et le gouvernement entend y intégrer aussi les aides au logement, l'allocation adulte handicapé et le RSA qui sont normalement revalorisés début janvier.