Télétravailler en tant qu’expatrié : Holiworking propose déjà 7 destinations
Partir télétravailler depuis l’étranger, certains salariés en rêvent mais ne savent pas forcément comment s’y prendre. Pour les y aider, une start-up a été créée en 2020 en France. À la tête d’Holiworking, le Français Gaël Brisson se charge d’assurer la mise en place d’un « cadre juridique structuré et sécurisant » entre l’employeur, le candidat au départ et sa société, qui sert d’intermédiaire. Le collaborateur est accompagné en amont (visa, logement, école, etc.), puis à destination, grâce à un réseau de partenaires. L’expérience est conçue pour durer entre 6 et 12 mois.
Condition sine qua none de cette expérience à l’international via Holiworking : travailler depuis un coworking à sa destination. Ces derniers sont disponibles dans l’ensemble des pays faisant partie de l’offre. À ce jour, 7 destinations sont proposées : Bali, Thaïlande, Île Maurice, Cap-Vert, Mexique, Afrique du Sud et Nouvelle-Zélande.
Condition sine qua none de cette expérience à l’international via Holiworking : travailler depuis un coworking à sa destination. Ces derniers sont disponibles dans l’ensemble des pays faisant partie de l’offre. À ce jour, 7 destinations sont proposées : Bali, Thaïlande, Île Maurice, Cap-Vert, Mexique, Afrique du Sud et Nouvelle-Zélande.
Les visas télétravail connaissent un essor aux quatre coins du monde
D’ici 2022, Holiworking entend bien élargir son offre avec 23 nouvelles destinations, pour porter le total à 30. La start-up rappelle qu’à ce jour, 32 pays proposent un visa télétravail, contre seulement 2 en 2019. Avant d’ouvrir une nouvelle destination, Holiworking procède à l’étude juridique et sociale sur place, l’état des lieux sur l’attractivité du pays / sa sécurité, recherche des partenaires à l’immigration et, dans certains pays, procède même à la création d’une société.
Selon Gaël Brisson, cette offre devrait intéresser les collaborateurs issus des générations X et Y, mais aussi les familles (avec enfant(s) en bas-âge) et les plus de 50 ans dont les enfants viennent de quitter le nid. La start-up propose ses services tant aux salariés en quête d’expatriation qu’aux entreprises souhaitant en faire profiter leurs salariés.
Selon Gaël Brisson, cette offre devrait intéresser les collaborateurs issus des générations X et Y, mais aussi les familles (avec enfant(s) en bas-âge) et les plus de 50 ans dont les enfants viennent de quitter le nid. La start-up propose ses services tant aux salariés en quête d’expatriation qu’aux entreprises souhaitant en faire profiter leurs salariés.