L’OCDE prend un exemple parlant : un couple marié avec deux enfants, et présentant un seul salaire moyen, a connu l’an dernier des prélèvements à hauteur de 40%. C’est bien plus élevé que la moyenne des 35 pays étudiés, qui s’établit à 26,6%. La France est sur la première marche du podium, suivie par la Finlande (39,2%) et l’Italie (38,6%). Le pays est très loin devant les meilleurs élèves que sont la Nouvelle-Zélande (6,2%), le Chili (7%) et l’Irlande (8,3%).
Pour un célibataire sans enfant, la pression fiscale est en revanche moins élevée en France (48,1% tout de même) qu’en Belgique (54%), en Allemagne (49,4%) et en Hongrie (48,2%). L’OCDE a pris en compte le taux effectif d’imposition, c’est à dire les impôts et les cotisations sociales de l’employé et de l’employeur, ainsi que les déductions en lien avec les prestations sociales et familiales. En moyenne, toutes situations confondues, le taux d’imposition était de 36% en France l’an dernier. Un taux en très légère baisse de 0,07 point par rapport à 2015.
Sur un plan plus réjouissant pour la France, le coût du travail, c’est à dire les salaires bruts, les charges sociales et les cotisations patronales, est plus élevé outre Rhin. Le coût du travail pour un célibataire allemand est de 73 683 $, contre 65 294 $ pour son homologue français. En Suisse, ce coût représente 74 913 $, le plus élevé de l’étude.
Pour un célibataire sans enfant, la pression fiscale est en revanche moins élevée en France (48,1% tout de même) qu’en Belgique (54%), en Allemagne (49,4%) et en Hongrie (48,2%). L’OCDE a pris en compte le taux effectif d’imposition, c’est à dire les impôts et les cotisations sociales de l’employé et de l’employeur, ainsi que les déductions en lien avec les prestations sociales et familiales. En moyenne, toutes situations confondues, le taux d’imposition était de 36% en France l’an dernier. Un taux en très légère baisse de 0,07 point par rapport à 2015.
Sur un plan plus réjouissant pour la France, le coût du travail, c’est à dire les salaires bruts, les charges sociales et les cotisations patronales, est plus élevé outre Rhin. Le coût du travail pour un célibataire allemand est de 73 683 $, contre 65 294 $ pour son homologue français. En Suisse, ce coût représente 74 913 $, le plus élevé de l’étude.