300 millions d'euros de manque à gagner plus tard, la SNCF pourrait finalement voir le bout du tunnel. La CGT, en s'abstenant de de dire si oui ou non elle accepte l'accord dans l'entreprise et la nouvelle convention collective de la branche ferroviaire. Dans le premier cas, le syndicat a jusqu'à ce jeudi soir pour donner ou pas son accord, dans le second le délai court jusqu'à la fin de la semaine.
Sachant que la CFDT et l'Unsa ont déjà signé ces deux accords, l'absence de refus de la CGT vaudrait validation pour les deux textes. Le syndicat est en effet en position d'arbitre dans les deux cas, alors que SUD-Rail et FO veulent poursuivre la contestation. Difficile pour la CGT de signer ces textes actuellement, alors que l'organisation est en pointe contre la loi Travail - même s'il s'agit, pour la SNCF, d'un tout autre dossier.
Par ailleurs, les négociateurs qui ont œuvré pour le compte de la CGT ont, d'après Le Figaro, noté que des avancées avaient été réalisées avec le patronat. Par conséquent, le syndicat devrait s'abstenir. De quoi faire repartir à la normale la machine de la SNCF.
Sachant que la CFDT et l'Unsa ont déjà signé ces deux accords, l'absence de refus de la CGT vaudrait validation pour les deux textes. Le syndicat est en effet en position d'arbitre dans les deux cas, alors que SUD-Rail et FO veulent poursuivre la contestation. Difficile pour la CGT de signer ces textes actuellement, alors que l'organisation est en pointe contre la loi Travail - même s'il s'agit, pour la SNCF, d'un tout autre dossier.
Par ailleurs, les négociateurs qui ont œuvré pour le compte de la CGT ont, d'après Le Figaro, noté que des avancées avaient été réalisées avec le patronat. Par conséquent, le syndicat devrait s'abstenir. De quoi faire repartir à la normale la machine de la SNCF.