Mais la direction du constructeur automobile est l'objet de beaucoup de remous ces derniers temps. L'État, qui détient 15% du capital du groupe, a demandé à Carlos Ghosn de préparer sa succession, avec une préférence pour un candidat interne. Mais si l'oiseau rare ne peut être trouvé au sein de l'entreprise, alors il pourrait s'agir d'une personnalité extérieure. Les grandes manœuvres ont débuté en coulisses et cela passe par… des démissions. Plusieurs têtes de pont ont annoncé leur départ, à commencer par Stefan Mueller le directeur délégué à la performance du groupe.
Selon Les Echos, l'Allemand aurait même déjà plié bagage, mais pour des raisons personnelles. Autre révélation, le départ de Thierry Desmarest du conseil d'administration, dont le mandat courait pourtant jusqu'en 2020. L'ancien patron de Total avait l'intention d'annoncer son retrait durant la prochaine Assemblée générale de Renault : son départ devait avoir lieu d'une manière ou d'une autre, fait-on valoir du côté de l'entreprise.
Du côté de l'État, Bruno Le Maire a adoubé Thierry Bolloré à son poste de Chief Operating Officer. Le conseil de cette semaine devra nommer un numéro deux, susceptible de prendre la place de Carlos Ghosn dont le mandat doit se terminer en mai prochain. Celui qui aura fêté ses 64 ans pourra partir avec le sentiment du devoir accompli : Renault se porte en effet très bien avec des records en termes de volumes de ventes.
Selon Les Echos, l'Allemand aurait même déjà plié bagage, mais pour des raisons personnelles. Autre révélation, le départ de Thierry Desmarest du conseil d'administration, dont le mandat courait pourtant jusqu'en 2020. L'ancien patron de Total avait l'intention d'annoncer son retrait durant la prochaine Assemblée générale de Renault : son départ devait avoir lieu d'une manière ou d'une autre, fait-on valoir du côté de l'entreprise.
Du côté de l'État, Bruno Le Maire a adoubé Thierry Bolloré à son poste de Chief Operating Officer. Le conseil de cette semaine devra nommer un numéro deux, susceptible de prendre la place de Carlos Ghosn dont le mandat doit se terminer en mai prochain. Celui qui aura fêté ses 64 ans pourra partir avec le sentiment du devoir accompli : Renault se porte en effet très bien avec des records en termes de volumes de ventes.