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Le baromètre Humanis/Lepetitjournal.com annonce la couleur. Sur les 1,68 million de Français vivant hors de l’hexagone (ils seraient 2,5 millions dans les faits, tous ne s’inscrivant pas dans les consulats), 70% regrettent dans leur pays d’adoption l’absence d’un système de protection sociale semblable à celui de la France. 87% bénéficient tout de même d’une couverture sociale, dont la couverture santé pour 83% d’entre eux.
Un tiers des Français expatriés expliquent même attendre un retour au pays (pour des vacances, par exemple), afin d’y effectuer des soins chez des professionnels de santé dans lesquels ils ont toute confiance. On ne peut pas tout avoir, et surtout pas des salaires plus élevés qu’en France sans les prélèvements obligatoires qui financent la Sécu.
20% des expatriés gagnent plutôt bien leur vie, de 36 000 à 60 000 euros par an, souligne l’étude. Les jeunes, particulièrement touchés par la crise en France, sont allés tenter l’aventure à l’étranger; mais l’attrait du voyage et l’envie de découvrir autre chose font aussi partie des raisons. Pour 31% des interrogés, cela reste toutefois la crise qui a poussé au départ.
Les expatriés français ont en moyenne 48,9 ans et sont surtout des femmes, à 59%.
Un tiers des Français expatriés expliquent même attendre un retour au pays (pour des vacances, par exemple), afin d’y effectuer des soins chez des professionnels de santé dans lesquels ils ont toute confiance. On ne peut pas tout avoir, et surtout pas des salaires plus élevés qu’en France sans les prélèvements obligatoires qui financent la Sécu.
20% des expatriés gagnent plutôt bien leur vie, de 36 000 à 60 000 euros par an, souligne l’étude. Les jeunes, particulièrement touchés par la crise en France, sont allés tenter l’aventure à l’étranger; mais l’attrait du voyage et l’envie de découvrir autre chose font aussi partie des raisons. Pour 31% des interrogés, cela reste toutefois la crise qui a poussé au départ.
Les expatriés français ont en moyenne 48,9 ans et sont surtout des femmes, à 59%.