Une étude du cabinet Eléas, qui s'est spécialisé dans la prévention des risques psycho-sociaux, tire la sonnette d'alarme. 62% des actifs, dont de nombreux cadres, exigent une régulation de l'usage des appareils numériques professionnels. Plus d'un tiers des actifs (37%) utilisent ce type d'outils en dehors des heures de bureau, dont 61% des chefs d'entreprise et 44% des cadres. 8 cadres sur dix se servent de ces appareils plus de trois heures par jour.
Le numérique n'a pas que des désavantages : la souplesse offerte par ces appareils permet une gestion en décalé du travail, ce qui est apprécié par 40% des actifs, dont plus d'un cadre sur deux, et 7 chefs d'entreprise sur dix. Les cadres, à 63%, et les patrons à 73% saluent le progrès induits par l'utilisation de ces produits.
Mais pour profiter à plein de ces outils numériques, encore faut-il être formé pour les utiliser à leur plein potentiel. C'est une attente pour 64% des actifs ; 63% d'entre eux aimeraient des formations. Chez ceux pour qui ces appareils font partie du quotidien, 62% veulent des règles claires en entreprises pour limiter l'utilisation des appareils en dehors des heures de bureau. Les cadres sont 75% à exiger une régulation.
Le numérique n'a pas que des désavantages : la souplesse offerte par ces appareils permet une gestion en décalé du travail, ce qui est apprécié par 40% des actifs, dont plus d'un cadre sur deux, et 7 chefs d'entreprise sur dix. Les cadres, à 63%, et les patrons à 73% saluent le progrès induits par l'utilisation de ces produits.
Mais pour profiter à plein de ces outils numériques, encore faut-il être formé pour les utiliser à leur plein potentiel. C'est une attente pour 64% des actifs ; 63% d'entre eux aimeraient des formations. Chez ceux pour qui ces appareils font partie du quotidien, 62% veulent des règles claires en entreprises pour limiter l'utilisation des appareils en dehors des heures de bureau. Les cadres sont 75% à exiger une régulation.