En mai 2016, Novartis était disposé à vendre la participation de l'entreprise dans Roche. La laboratoire pharmaceutique suisse possède 33% des droits de vote de son voisin de Bâle. Le groupe, qui a amassé ces droits de vote pendant dix ans, envisageait une fusion qui n'arriva finalement jamais. L'an dernier, cette participation a rapporté 464 millions de dollars à Novartis, une mariée plutôt belle donc qui a intéressé plusieurs entreprises lorsque l'annonce de la vente de la part détenu par Novartis a été rendue publique.
Il s'agissait à l'époque de soutenir Alcon, filiale de Novartis spécialisée dans les soins oculaires, dont les résultats se montraient particulièrement médiocres. L'argent frais obtenu de la vente de la participation de Roche aurait ainsi permis de renflouer Alcon. Mais au second trimestre, Alcon a montré des performances solides, avec des ventes qui se sont redressées. Désormais, la filiale pourrait valoir entre 25 et 35 milliards de dollars.
La direction de Novartis a ordonné une revue stratégique, qui a révélé qu'il n'était plus nécessaire de vendre la participation de Roche. C'est le président du conseil d'administration, Jörg Reinhardt, qui a confirmé la nouvelle au quotidien HandelsZeitung. Il a également indiqué que la filiale Sandoz, qui fabrique des génériques, avait toute sa place au sein du groupe malgré des pressions venant des États-Unis.
Il s'agissait à l'époque de soutenir Alcon, filiale de Novartis spécialisée dans les soins oculaires, dont les résultats se montraient particulièrement médiocres. L'argent frais obtenu de la vente de la participation de Roche aurait ainsi permis de renflouer Alcon. Mais au second trimestre, Alcon a montré des performances solides, avec des ventes qui se sont redressées. Désormais, la filiale pourrait valoir entre 25 et 35 milliards de dollars.
La direction de Novartis a ordonné une revue stratégique, qui a révélé qu'il n'était plus nécessaire de vendre la participation de Roche. C'est le président du conseil d'administration, Jörg Reinhardt, qui a confirmé la nouvelle au quotidien HandelsZeitung. Il a également indiqué que la filiale Sandoz, qui fabrique des génériques, avait toute sa place au sein du groupe malgré des pressions venant des États-Unis.