Et pour cause : les notes de frais « non réclamés » représentent 14,5 milliards d'euros chaque année. Un tiers des salariés reconnaît ne pas toujours réclamer le remboursement de ces notes de frais ; cela représente la bagatelle de 212 € par an en moyenne en France, où 0,6 milliard d'euros ne sont pas remboursés aux salariés, contre 1,3 milliard en Grande-Bretagne ou encore 8,7 milliards aux États-Unis ! C'est en Espagne où la moyenne est la plus faible, avec 90 € en moyenne par employé.
Parmi les raisons qui motivent cette absence de réclamation, on trouve des motifs comme des une procédure trop longue et/ou décourageante, la perte des justificatifs, un montant trop faible des frais, ou tout simplement… l'oubli. ces obstacles influent négativement sur l’opinion qu’ont les salariés de leur entreprise, engendrant une forte démotivation. Dans certains pays européens, un quart des salariés doit patienter plus d’un mois entre la soumission de la demande et le remboursement des frais engagés.
23% des salariés français interrogés estiment que leur employeur tire un avantage financier (à leurs dépens) des procédures de remboursement des frais. Sur l’ensemble des salariés ayant répondu par l’affirmative à la question précédente, 28 % en moyenne considèrent que cette situation a une incidence négative sur l’opinion qu’ils portent à leur entreprise.
Parmi les raisons qui motivent cette absence de réclamation, on trouve des motifs comme des une procédure trop longue et/ou décourageante, la perte des justificatifs, un montant trop faible des frais, ou tout simplement… l'oubli. ces obstacles influent négativement sur l’opinion qu’ont les salariés de leur entreprise, engendrant une forte démotivation. Dans certains pays européens, un quart des salariés doit patienter plus d’un mois entre la soumission de la demande et le remboursement des frais engagés.
23% des salariés français interrogés estiment que leur employeur tire un avantage financier (à leurs dépens) des procédures de remboursement des frais. Sur l’ensemble des salariés ayant répondu par l’affirmative à la question précédente, 28 % en moyenne considèrent que cette situation a une incidence négative sur l’opinion qu’ils portent à leur entreprise.