Actuellement le groupe Nestlè dispose de 7 sièges sociaux distincts en France en fonction des filiales et des branches du groupe. Afin de simplifier ses démarches le géant suisse a annoncé son intention de faire fusionner tous ces sièges sociaux en un seul qui se trouverait en bordure de la Capitale. Forcément, certains postes vont se retrouver en doublon.
L’annonce ne va pas impacter fortement le nombre d’employés de Nestlè en France : pas moins de 2 600 personnes travaillent pour le géant suisse dans l’Hexagone et les suppressions de postes ne devraient concerner que 400 personnes. De plus, Nestlè a annoncé qu’elle ne souhaitait pas licencier et espère en des départs volontaires et sur le non-remplacement de départs naturels.
Toutefois, certains secteurs seront plus touchés que d’autre : la fusion des sièges va entraîner la suppression de plus de 100 postes dans les Ressources Humaines selon la direction de Nestlè qui a discuté avec les syndicats.
Reste que Nestlè a déjà annoncé la suppression de près de 400 postes dans son laboratoire de recherche basé à Sophia-Antipolis en PACA. Cette nouvelle suppression d’emploi, qui sera réalisée sur 2 ans, risque de causer quelques soucis, d’autant plus que l’annonce survient quelques jours seulement après l’annonce de la part de Carrefour de la suppression de plus de 2 000 postes en France.
L’annonce ne va pas impacter fortement le nombre d’employés de Nestlè en France : pas moins de 2 600 personnes travaillent pour le géant suisse dans l’Hexagone et les suppressions de postes ne devraient concerner que 400 personnes. De plus, Nestlè a annoncé qu’elle ne souhaitait pas licencier et espère en des départs volontaires et sur le non-remplacement de départs naturels.
Toutefois, certains secteurs seront plus touchés que d’autre : la fusion des sièges va entraîner la suppression de plus de 100 postes dans les Ressources Humaines selon la direction de Nestlè qui a discuté avec les syndicats.
Reste que Nestlè a déjà annoncé la suppression de près de 400 postes dans son laboratoire de recherche basé à Sophia-Antipolis en PACA. Cette nouvelle suppression d’emploi, qui sera réalisée sur 2 ans, risque de causer quelques soucis, d’autant plus que l’annonce survient quelques jours seulement après l’annonce de la part de Carrefour de la suppression de plus de 2 000 postes en France.