Avec un taux de chômage à 8,5% de la population active, la France a retrouvé le niveau de début 2009. Sur un an, la baisse est sensible : le recul s'établit à 0,6 point. « La tendance baissière va se poursuivre », a assuré Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, devant les caméras de BFM TV. Elle vante bien sûr les réformes impulsées par le gouvernement, qui permettent aux entreprises d'embaucher en n'ayant « plus peur » de le faire. Parmi les autres dispositifs mis en œuvre par le gouvernement, la ministre cite la réforme de l'apprentissage ; les nouvelles règles de l'assurance chômage, qui seront actives de le 1er novembre, devraient aussi participer de la baisse du chômage.
Muriel Pénicaud a rappelé l'objectif lancé par Emmanuel Macron, à savoir atteindre les 7% de chômage à la fin du quinquennat, en 2022. « Cet ordre de grandeur est possible s'il n'y a pas de changement macroéconomique, géopolitique mondial qui abîmerait la croissance », explique-t-elle. La ministre indique, optimiste : « On en a encore sous le pied ». Mais les risques sur la croissance existent, en particulier les répercussions de la « guerre commerciale » entre la Chine et les États-Unis.
Si ces tensions devaient se poursuivre, elles auraient un impact sur la croissance française. « Mais à croissance continue, égale, on va continuer à baisser le chômage, je suis confiante ». Néanmoins, elle n'a pas pu laisser échapper ses craintes concernant les échanges internationaux : « On a quand même une petite inquiétude sur les tensions commerciales ».
Muriel Pénicaud a rappelé l'objectif lancé par Emmanuel Macron, à savoir atteindre les 7% de chômage à la fin du quinquennat, en 2022. « Cet ordre de grandeur est possible s'il n'y a pas de changement macroéconomique, géopolitique mondial qui abîmerait la croissance », explique-t-elle. La ministre indique, optimiste : « On en a encore sous le pied ». Mais les risques sur la croissance existent, en particulier les répercussions de la « guerre commerciale » entre la Chine et les États-Unis.
Si ces tensions devaient se poursuivre, elles auraient un impact sur la croissance française. « Mais à croissance continue, égale, on va continuer à baisser le chômage, je suis confiante ». Néanmoins, elle n'a pas pu laisser échapper ses craintes concernant les échanges internationaux : « On a quand même une petite inquiétude sur les tensions commerciales ».