Les résultats pour l’exercice fiscal 2018-2019 (qui s’est achevé le 31 mars) sont extrêmement solides pour Alstom. Le groupe industriel a engrangé un chiffre d’affaires de 8,1 milliards d’euros, en progression de 10% par rapport à l’année précédente. Les bénéfices s’établissent à 681 millions d’euros, tandis que la marge d’exploitation est de 7,1% (1,4 point de plus). Des chiffres supérieurs au consensus des économistes. Mieux encore, il s’agit de résultats tout simplement historiques ! Une belle performance, alors que le projet de fusion avec Siemens a capoté l’an dernier en raison du refus de la Commission européenne.
Le champion français du ferroviaire se porte donc plutôt bien en solo, porté par une dynamique commerciale « exceptionnelle », reconnait le groupe. Le carnet de commandes a atteint 12,1 milliards d’euros, contre 7,2 milliards sur le précédent exercice. Alstom a notamment signé deux contrats d’envergure : le métro de Montréal (1,4 milliard) et 100 TGV nouvelle génération pour les besoins de la SNCF (2,7 milliards). Henri Poupart-Lafarge, le PDG d’Alstom, se réjouit des changements opérés au sein de l’entreprise en cinq ans : « Nous avons réussi notre internationalisation, avec un chiffre d’affaires passé de 5 à 8 milliards d’euros. Et renouvelé toute notre gamme de tramways, métros, trains régionaux et TGV ».
Les bonnes nouvelles se poursuivront-elles à un tel rythme ? Il faut l’espérer bien sûr, même si le patron d’Alstom regrette le refus de Bruxelles : « pour préparer l’avenir, il fallait faire cette fusion avec Siemens ». Les perspectives pour les prochains exercices seront présentées à la fin du mois de juin, durant lesquelles un nouveau plan stratégique sera dévoilé.
Le champion français du ferroviaire se porte donc plutôt bien en solo, porté par une dynamique commerciale « exceptionnelle », reconnait le groupe. Le carnet de commandes a atteint 12,1 milliards d’euros, contre 7,2 milliards sur le précédent exercice. Alstom a notamment signé deux contrats d’envergure : le métro de Montréal (1,4 milliard) et 100 TGV nouvelle génération pour les besoins de la SNCF (2,7 milliards). Henri Poupart-Lafarge, le PDG d’Alstom, se réjouit des changements opérés au sein de l’entreprise en cinq ans : « Nous avons réussi notre internationalisation, avec un chiffre d’affaires passé de 5 à 8 milliards d’euros. Et renouvelé toute notre gamme de tramways, métros, trains régionaux et TGV ».
Les bonnes nouvelles se poursuivront-elles à un tel rythme ? Il faut l’espérer bien sûr, même si le patron d’Alstom regrette le refus de Bruxelles : « pour préparer l’avenir, il fallait faire cette fusion avec Siemens ». Les perspectives pour les prochains exercices seront présentées à la fin du mois de juin, durant lesquelles un nouveau plan stratégique sera dévoilé.