Durant l'élection présidentielle américaine, et dans une moindre mesure pour les élections françaises et allemandes, Facebook a été le lieu de prédilection pour la diffusion et le partage de fausses nouvelles dommageables pour la démocratie. Facebook est aussi gangrené par le harcèlement et la haine, des abus que Mark Zuckerberg entend combattre cette année. Au travers de ses vœux, il entend protéger la communauté Facebook. Le réseau social n'a évidemment pas attendu la volonté de son patron pour prendre des mesures contre les « fake news » et les trolls.
Mais l'implication de Mark Zuckerberg dans ce combat tranche avec la relative inertie dont il faisait preuve jusqu'à présent sur ces sujets. Le patron de Facebook veut également s'engager en faveur du « temps utile » passé à naviguer sur le réseau, en plus de la protection de la communauté. « Ces problèmes relèvent à la fois de l'histoire, du civisme, de la philosophie politique, des médias, des affaires publiques et évidemment de la technologie », écrit-il.
Mais ce n'est pas le seul sujet d'intérêt pour Mark Zuckerberg. En 2018, il va aussi s'intéresser au chiffrement des données et aux cryptomonnaies, comme le Bitcoin. D'ici à penser que Facebook pourrait créer un « Facecoin », il y a encore un pas ! Mais ces technologies permettent de décentraliser internet, alors que le sentiment aujourd'hui est celui d'une prise de contrôle par une poignée d'États et de grandes sociétés internet.
Mais l'implication de Mark Zuckerberg dans ce combat tranche avec la relative inertie dont il faisait preuve jusqu'à présent sur ces sujets. Le patron de Facebook veut également s'engager en faveur du « temps utile » passé à naviguer sur le réseau, en plus de la protection de la communauté. « Ces problèmes relèvent à la fois de l'histoire, du civisme, de la philosophie politique, des médias, des affaires publiques et évidemment de la technologie », écrit-il.
Mais ce n'est pas le seul sujet d'intérêt pour Mark Zuckerberg. En 2018, il va aussi s'intéresser au chiffrement des données et aux cryptomonnaies, comme le Bitcoin. D'ici à penser que Facebook pourrait créer un « Facecoin », il y a encore un pas ! Mais ces technologies permettent de décentraliser internet, alors que le sentiment aujourd'hui est celui d'une prise de contrôle par une poignée d'États et de grandes sociétés internet.