D’après ce rapport dévoilé par Les Echos et France Inter, les lombalgies n’ont cessé d’augmenter depuis 2005. À l’époque, on en dénombrait 146 000 ; en 2015, elles se montaient à 167 000. Le mal de dos est même devenu le second motif de recours à son médecin… et dans 20% des cas, la consultation aboutit à un arrêt de travail. Alors que ces arrêts de travail ont tendance à baisser sur la même période (900 000 en 2015, contre 1,1 million en 2005).
Il arrive parfois que le mal de dos diagnostiqué par le médecin implique une opération chirurgicale, qui débouche sur des incapacités : la lombalgie est responsable de près d’un tiers des arrêts de travail de plus de six mois. Tout cela coûte cher aux entreprises où se forment généralement les lombalgies.
Un milliard d’euros selon la Sécurité sociale, dont 580 millions rien que pour l’indemnisation des séquelles, 300 millions pour les indemnités journalières, et encore 120 millions pour la prise en charge des soins. L’AT-MP préconise de renforcer les campagnes de prévention et les formations, mais aussi de mettre en place une reprise de travail à temps partiels pour les malades, sous la supervision de la médecine du travail.
Il arrive parfois que le mal de dos diagnostiqué par le médecin implique une opération chirurgicale, qui débouche sur des incapacités : la lombalgie est responsable de près d’un tiers des arrêts de travail de plus de six mois. Tout cela coûte cher aux entreprises où se forment généralement les lombalgies.
Un milliard d’euros selon la Sécurité sociale, dont 580 millions rien que pour l’indemnisation des séquelles, 300 millions pour les indemnités journalières, et encore 120 millions pour la prise en charge des soins. L’AT-MP préconise de renforcer les campagnes de prévention et les formations, mais aussi de mettre en place une reprise de travail à temps partiels pour les malades, sous la supervision de la médecine du travail.