La filiale d’EDF en charge des lignes à haute et très haute tension voulait mettre en place un nouvel accord sur le temps de travail. Le texte touche en particulier les chantiers de maintenante à délais contraints, c’est à dire à accomplir rapidement. Il s’agit d’un projet d’harmonisation à l’échelle nationale, la rémunération des personnels dans ce cadre variant d’une région à une autre.
Deux syndicats, la CFE-CGC et la CFDT, ont signé ce nouveau dispositif qui concerne la direction maintenance de RTE (soit 4 200 salariés sur un effectif de 8 500). Ces syndicats représentent 35% des voix au sein de cet établissement. Mais la CGT, majoritaire au sein de RTE, n’a rien signé. Le référendum était organisé dans ce cadre.
Le résultat final a donné raison à la CGT puisque le « non » l’a très largement emporté avec 70,8% des suffrages. Les deux syndicats minoritaires à l’origine du référendum ont donc perdu, mais l’initiative a parfaitement rempli son rôle en mobilisant très fortement les salariés de la direction maintenance, avec un taux de participation de 76,3%.
Deux syndicats, la CFE-CGC et la CFDT, ont signé ce nouveau dispositif qui concerne la direction maintenance de RTE (soit 4 200 salariés sur un effectif de 8 500). Ces syndicats représentent 35% des voix au sein de cet établissement. Mais la CGT, majoritaire au sein de RTE, n’a rien signé. Le référendum était organisé dans ce cadre.
Le résultat final a donné raison à la CGT puisque le « non » l’a très largement emporté avec 70,8% des suffrages. Les deux syndicats minoritaires à l’origine du référendum ont donc perdu, mais l’initiative a parfaitement rempli son rôle en mobilisant très fortement les salariés de la direction maintenance, avec un taux de participation de 76,3%.