L'UAE indique que ce chiffre est deux fois plus élevé que la moyenne nationale. Les jeunes ont donc soif d'entreprendre en solo, alors qu'il est toujours difficile de décrocher un CDI. De fait, 37% des personnes interrogées pensent qu'il est plus facile de créer sa propre entreprise plutôt qu'obtenir un emploi. Parmi les raisons qui poussent ces jeunes à entreprendre, il y a simplement la volonté d'être son propre patron (40%), d'appliquer ses méthodes de travail personnelles (35%), et de travailler sans horaires fixes (30%).
Cet enthousiasme et cet optimisme ne sont pas béats. Les jeunes entrepreneurs en herbe ont bien conscience des difficultés de se lancer. 52% savent qu'ils prendront des risques financiers. Près de la moitié d'entre eux (46% précisément) ont peur des fins de mois difficiles. Pour 37%, c'est l'absence de couverture sociale qui effraie. Un message envoyé aux pouvoirs publics…
Les personnes interrogées souhaitent dans leur grande majorité (81%) une indemnisation en cas de perte d'activité ex-aequo avec le souhait d'une convergence des protections sociales avec les salariés. 79% des jeunes regrettent que le système éducatif ne les ait pas préparé à l'autoentreprenariat. Toutefois, près de neuf autoentrepreneurs sur dix se disent satisfaits de leur sort, souligne-t-on à l'UAE, contre 79% des salariés.
Cet enthousiasme et cet optimisme ne sont pas béats. Les jeunes entrepreneurs en herbe ont bien conscience des difficultés de se lancer. 52% savent qu'ils prendront des risques financiers. Près de la moitié d'entre eux (46% précisément) ont peur des fins de mois difficiles. Pour 37%, c'est l'absence de couverture sociale qui effraie. Un message envoyé aux pouvoirs publics…
Les personnes interrogées souhaitent dans leur grande majorité (81%) une indemnisation en cas de perte d'activité ex-aequo avec le souhait d'une convergence des protections sociales avec les salariés. 79% des jeunes regrettent que le système éducatif ne les ait pas préparé à l'autoentreprenariat. Toutefois, près de neuf autoentrepreneurs sur dix se disent satisfaits de leur sort, souligne-t-on à l'UAE, contre 79% des salariés.