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D’après la note de l'Organisation de coopération et de développement économiques, les revenus disponibles des ménages sont globalement toujours inférieurs à ce qu’ils étaient avant 2008 et la crise des subprimes. Et c’est surtout le cas parmi les ménages aux revenus les plus faibles.
Car les foyers aux revenus les plus élevés comme pour ceux aux revenus moyens ont comblé l’essentiel de ce qu’ils avaient perdu avec la crise. Mais ce n’est pas le cas pour les ménages les plus modestes. L’organisation explique qu’entre 2007 et 2010, le revenu réel disponible a plus reculé pour les 10% des ménages les plus modestes, que pour les 10% des ménages les plus aisés. Les baisses ont été de respectivement 5,3% et 3,6%.
Depuis 2010 et la reprise qui a commencé à redresser les économies, les revenus ont progressé plus rapidement pour les ménages aux revenus moyens et aisés (+2,3% entre 2010 et 2014), alors que les ménages aux revenus les plus pauvres n’ont connu qu’une hausse de 1,1%. Toutefois, la France s’en sort un peu mieux : de 2008 à 2013, les inégalités de niveau de vie ont été stables.
Car les foyers aux revenus les plus élevés comme pour ceux aux revenus moyens ont comblé l’essentiel de ce qu’ils avaient perdu avec la crise. Mais ce n’est pas le cas pour les ménages les plus modestes. L’organisation explique qu’entre 2007 et 2010, le revenu réel disponible a plus reculé pour les 10% des ménages les plus modestes, que pour les 10% des ménages les plus aisés. Les baisses ont été de respectivement 5,3% et 3,6%.
Depuis 2010 et la reprise qui a commencé à redresser les économies, les revenus ont progressé plus rapidement pour les ménages aux revenus moyens et aisés (+2,3% entre 2010 et 2014), alors que les ménages aux revenus les plus pauvres n’ont connu qu’une hausse de 1,1%. Toutefois, la France s’en sort un peu mieux : de 2008 à 2013, les inégalités de niveau de vie ont été stables.
