Entreprise
Les actionnaires se sont partagés des dividendes de 513,8 milliards de dollars au deuxième trimestre. Cela représente une croissance de 1,1% par rapport au même trimestre de 2018, selon la société de gestion de fonds Janus Henderson Investors. Les dividendes sont en hausse, mais la situation pourrait se dégrader dans les prochains mois en raison d'un taux de croissance plus faible ; cette décélération va se faire sentir sur les dividendes, prévient la société. Le dollar fort produit également des effets négatifs sur les dividendes : au printemps 2018, ils avaient augmenté de 14,3% d'une année sur l'autre.
En Europe (à l'exception du Royaume-Uni), les versements de dividendes ont reculé de 5,3% à 169,5 milliards de dollars. L'euro faible, les bénéfices moindres des entreprises européennes et le ralentissement de l'activité limitent la possibilité de verser de gros dividendes. C'est le cas pour plusieurs grands groupes, notamment en Allemagne où BMW et Daimler ont vu leurs profits plonger au deuxième trimestre. C'est en France que les dividendes ont été les plus généreux : les entreprises françaises ont distribué 51 milliards de dollars, en hausse de 3,1%.
La région Asie-Pacifique, en dehors du Japon, affiche un recul des dividendes à 43,2 milliards de dollars, soit -2,9%. Aux États-Unis en revanche, la distribution est en hausse de 4,4% (132,9 milliards). C'est toutefois le rythme de progression le plus lent de ces deux dernières années, souligne Janus Henderson Investors. Malgré les difficultés du moment, 2019 devrait marquer un record en termes de dividendes : l'estimation de la société de gestion est de 1 430 milliards de dollars (+4,2%).
En Europe (à l'exception du Royaume-Uni), les versements de dividendes ont reculé de 5,3% à 169,5 milliards de dollars. L'euro faible, les bénéfices moindres des entreprises européennes et le ralentissement de l'activité limitent la possibilité de verser de gros dividendes. C'est le cas pour plusieurs grands groupes, notamment en Allemagne où BMW et Daimler ont vu leurs profits plonger au deuxième trimestre. C'est en France que les dividendes ont été les plus généreux : les entreprises françaises ont distribué 51 milliards de dollars, en hausse de 3,1%.
La région Asie-Pacifique, en dehors du Japon, affiche un recul des dividendes à 43,2 milliards de dollars, soit -2,9%. Aux États-Unis en revanche, la distribution est en hausse de 4,4% (132,9 milliards). C'est toutefois le rythme de progression le plus lent de ces deux dernières années, souligne Janus Henderson Investors. Malgré les difficultés du moment, 2019 devrait marquer un record en termes de dividendes : l'estimation de la société de gestion est de 1 430 milliards de dollars (+4,2%).
