8 cadres sur dix voudraient bénéficier d’une mobilité régionale, dont 36% dans moins d’un an et 76% dans les trois années qui viennent. Autant dire qu’il y a là un message très clair envoyé aux entreprises : les cadres exigent de la mobilité. Et ils sont prêts à sacrifier un peu de leurs salaires : 54% s’y disent prêts. 48% pourraient accepter une reconversion.
Parmi les raisons qui poussent les cadres à envisager très sérieusement une installation en Province, on trouve le temps perdu dans les transports à Paris (plus de 30 minutes pour 70% des personnes interrogées). Le coût du logement vient ensuite avec 57%, avec juste derrière la pollution et l’environnement en général ainsi que le coût de la vie en général (55%).
Les cadres candidats au départ en province visent surtout trois villes : Bordeaux, Lyon et Nantes sont les préférées avec respectivement 56%, 42% et 41%. Toulouse (36%) et Montpellier (30%) sont également appréciées.
Parmi les raisons qui poussent les cadres à envisager très sérieusement une installation en Province, on trouve le temps perdu dans les transports à Paris (plus de 30 minutes pour 70% des personnes interrogées). Le coût du logement vient ensuite avec 57%, avec juste derrière la pollution et l’environnement en général ainsi que le coût de la vie en général (55%).
Les cadres candidats au départ en province visent surtout trois villes : Bordeaux, Lyon et Nantes sont les préférées avec respectivement 56%, 42% et 41%. Toulouse (36%) et Montpellier (30%) sont également appréciées.