50 minutes, c'est dix minutes de plus qu'en 1998, ou encore… 25% d'augmentation en 17 ans ! Comment expliquer cette hausse ? L'étude indique que si les distances à parcourir sont plus courtes, le trajet prend plus de temps en raison des difficultés sur la route, des embouteillages et des transports en commun : ils ne sont pas forcément plus empruntés, mais ils sont moins rapides que les voitures particulières.
Quoi qu'il en soit, 75% des actifs empruntent non pas les transports en commun pour se rendre à leur travail, mais leur voiture particulière. Le bus, le métro ou le tramway sont en perte de vitesse très nette auprès de cette population, qui les utilisent encore moins qu'en 1998 : 7% seulement, contre 17% il y a 17 ans.
Néanmoins, cette moyenne de 50 minutes cache d'importantes variations : en Ile-de-France, la moyenne est ainsi de 68 minutes, soit 35% de plus que sur l'ensemble de la France. 31% des actifs passent entre 30 minutes et moins d'une heure pour se rendre au travail et en revenir. 17% de chanceux passent moins d'un quart d'heure pour aller au bureau.
Quoi qu'il en soit, 75% des actifs empruntent non pas les transports en commun pour se rendre à leur travail, mais leur voiture particulière. Le bus, le métro ou le tramway sont en perte de vitesse très nette auprès de cette population, qui les utilisent encore moins qu'en 1998 : 7% seulement, contre 17% il y a 17 ans.
Néanmoins, cette moyenne de 50 minutes cache d'importantes variations : en Ile-de-France, la moyenne est ainsi de 68 minutes, soit 35% de plus que sur l'ensemble de la France. 31% des actifs passent entre 30 minutes et moins d'une heure pour se rendre au travail et en revenir. 17% de chanceux passent moins d'un quart d'heure pour aller au bureau.