La France fait partie des pays où les salariés sont les plus imposés dans l'OCDE. Mais si le taux d'imposition pratiqué dans l'Hexagone dépasse largement la moyenne enregistrée par l'organisme, il est loin d'autres pays comme l'Allemagne, le Danemark ou encore la Belgique, où il franchit le seuil de 35%. La France se place bien au-dessus du Chili, où le taux d'imposition est de 7% seulement… La Corée du Sud et le Mexique se contentent eux de 15%. La moyenne de l'OCDE est de 25,2%.
Le taux d'imposition au sens de l'OCDE se calcule pour une personne célibataire sans enfant. Le calcul correspond au montant de l'impôt sur le revenu ainsi que les cotisations sociales, auquel on déduit les prestations sociales perçues. Si le taux s'établit à 29,2% en France, il grimpe à 47,6% avec la prise en compte des cotisations versées par l'employeur. Même à ce niveau, le taux d'imposition français se positionne derrière celui en vigueur en Belgique (53,7%) et même derrière l'Allemagne avec 49,7%.
Si l'on entend de nouveau beaucoup le petit air de la pression fiscale qui serait en hausse, l'OCDE note que celle-ci a baissé légèrement en France. Le gouvernement assure aussi qu'elle devrait se réduire encore un peu plus via la suppression progressive des cotisations maladie et chômage dans la feuille de paie ; une baisse qui sera en partie compensée par la hausse de la CSG.
Le taux d'imposition au sens de l'OCDE se calcule pour une personne célibataire sans enfant. Le calcul correspond au montant de l'impôt sur le revenu ainsi que les cotisations sociales, auquel on déduit les prestations sociales perçues. Si le taux s'établit à 29,2% en France, il grimpe à 47,6% avec la prise en compte des cotisations versées par l'employeur. Même à ce niveau, le taux d'imposition français se positionne derrière celui en vigueur en Belgique (53,7%) et même derrière l'Allemagne avec 49,7%.
Si l'on entend de nouveau beaucoup le petit air de la pression fiscale qui serait en hausse, l'OCDE note que celle-ci a baissé légèrement en France. Le gouvernement assure aussi qu'elle devrait se réduire encore un peu plus via la suppression progressive des cotisations maladie et chômage dans la feuille de paie ; une baisse qui sera en partie compensée par la hausse de la CSG.