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59% des Français candidats à un métier dans une autre région, voire un autre pays, placent comme premier critère du départ un meilleur salaire. Pour près d'une personne sur deux (48%), il s'agit de mieux concilier la vie privée avec la vie professionnelle, et 47% le besoin de changer d'environnement de travail. Pour un quart des Français, il s'agit d'assouvir l'envie de partir dans une autre région, pour 14% de tenter sa chance à l'étranger. La principale conclusion qui s'impose de ce sondage, c'est que les Français candidats à une mobilité sont surtout motivés par la recherche d'une meilleure qualité de vie.
Ils sont également nombreux à placer l'envie d'exercer un métier qui corresponde mieux à leurs aspirations, et le souhait d'acquérir de nouvelles compétences. En termes géographiques, la région la plus prisée est la Provence-Alpes-Côte-d'Azur pour 40% des sondés, puis la Nouvelle-Aquitaine pour 35% et la Bretagne (32%). L'Ile-de-France n'est pas à la fête : malgré son attractivité économique, la région se contente de la sixième place : un Français sur dix seulement l'estime en effet attractive.
Le sondage fait aussi le point sur les difficultés à aller travailler ailleurs. Pour 62% des Français, le contexte politique demeure un frein à la mobilité. Un taux en baisse de 4 points par rapport au baromètre de l'an dernier. 65% des sondés estiment qu'il est difficile de changer d'entreprises, un chiffre qui a beaucoup baissé d'une année sur l'autre (-9 points). Deux Français sur dix envisagent la mobilité comme nécessaire pour s'adapter au marché du travail.
Ils sont également nombreux à placer l'envie d'exercer un métier qui corresponde mieux à leurs aspirations, et le souhait d'acquérir de nouvelles compétences. En termes géographiques, la région la plus prisée est la Provence-Alpes-Côte-d'Azur pour 40% des sondés, puis la Nouvelle-Aquitaine pour 35% et la Bretagne (32%). L'Ile-de-France n'est pas à la fête : malgré son attractivité économique, la région se contente de la sixième place : un Français sur dix seulement l'estime en effet attractive.
Le sondage fait aussi le point sur les difficultés à aller travailler ailleurs. Pour 62% des Français, le contexte politique demeure un frein à la mobilité. Un taux en baisse de 4 points par rapport au baromètre de l'an dernier. 65% des sondés estiment qu'il est difficile de changer d'entreprises, un chiffre qui a beaucoup baissé d'une année sur l'autre (-9 points). Deux Français sur dix envisagent la mobilité comme nécessaire pour s'adapter au marché du travail.
